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 Nuit blanche dans un bureau
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MessageSujet: Nuit blanche dans un bureau   Nuit blanche dans un bureau 1387502757-horlogeDim 2 Aoû 2015 - 21:35



Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence alors tais-toi !



PARTICIPANTSAlouarn Grimgorson & Sacha Trétikova année
Résumé • Minuit passé, Sacha se retrouve dans le bureau du professeur Grimgorson pour s'être baladé dans les couloirs du 5 eme étage.



Nuit blanche dans un bureau



April venait de lui balancer une armé de mot difficilement supportable pour lui. Elle venait de lui reprocher d'avoir draguer Nocta, qu'il faisait tout pour l'enfermer. Non ce n'était pas vrai ! Il n'avait pas cherché à l'enfermer juste à la protéger de lui même. Il voulait juste la proteger rien d'autre. MAis elle ne l'avais pas comprit comme tel. Elle l'avait vu de manière négative et était parit. Partit en finissant sa phrase par un "tu n'as plus rien à me dire: notre histoire est finie." . Ces mots raisonnaient dans la tête du jeune homme. Il allait devenir fou. Entre foue de rage et foue amoureux. Comment avait elle pus le laisser là en plan comme ça . Elle avait fait c'est tout. La rage lui montait. Il n'allait pas pouvoir se controler bien longtemps. Voilà l'envi de taper lui monta. Il avait envi de tout casser, de tout faire bruler. D'un coup il haissait ce chateau et toutes les personnes qui le composait. Il fappa une fois dans le mur, puis deux , puis trois. Il frappait , frappait et frappait encore. Ses poings allaient se percuter contre le mur? Au déut de simple trace rouge, puis la chaire commença à s'erriter. Puis il commença à sainger. Le dernier coup de poing lui cassa surement une de ces falanges.

Les tableaux se mirent tous à pester puis presque à l'insulter du bruit qu'il faisait. Il "tait comme possèdé il n'arrivait pas à s'arretre. Pourquoi ? Pourquoi l'avait elle quitté ! Elle n'avait pas le droit ! A chaque pensée tournée pour la jeune fille il frappait plus fort. Le bruit qu'il produisait l'empecha d'entendre les pas du professeur  Grimgorson qui le fit sursauté en lui tenant les propos suivant :  





❝ ▬ Bonsoir, monsieur Trétiakova. Belle nuit pour se promener, n’est ce pas ? Non, ne dites rien. Nous allons discuter de tout ça autour d’une bonne tasse de thé dans mon bureau. Les elfes ont du m’apporter de quoi nous rassasier ! Oh non, non, non, ne me regardez pas comme ça ! Pour sûr que vous serez puni, mais je préfère que nous discutions de la chose avant. Je vois bien que vous êtes en colère, et que retourner dans votre chambre ne vous sera pas d’une grande utilité. Et puis, si nous avons le temps après, et que vous n’êtes pas trop fatigué, vous m’accompagnerez faire une chasse aux passages secrets ! J’en connais deux qui vont être en forme demain matin. Allez, pressons ! Ne trainons pas plus longtemps dans ces couloirs ! ❞



on ce n'était vraiment pas le moment qu'un professeur passe dans les couloirs. Il n'avait vraiment pas de chance en ce moment. Puis repensa à la séance avec le professseur Sonozoa, il devait arriver à se tenir. Mais la rage , la colère, la tristesse étaient trop présente pour qu"il arrive à canaliser quoi que se soit. Il savait que son interlcation avec le professeur Grimgorson allait rajouter une raison de plus au professeur Sonozoa. Il n'osa même pas imaginé ce que lui avait fai le professeur Sonozoa, si c'était lui qu'il avait surpris. Sacha finit par prendre la parole avec un ton plus insolent que ce qu'il auarait voulu :





❝ ▬Ecoutez professeur je suis désolé, j 'avais une petite insomnie et je suis allé me ballader. Mais dite moi professeur ce n'est pa sun crime. Regardez vous etes là vous aussi, c'est que ce n'est pas si grave que ça. Qu'en pensez vous❞



Sacha n'avait nullement l'intention de discuter avec le professeur, et voulait profiter de sa jeunesse pour esquiver une discution , une punution et se permettre d'être plus famille et peut être plus insolent aussi. Sacha le savait il était entrein de prendre le professeur pour un con et il allait encore une fois payer les conséquence de l'enervement de sa partie nommé Alexandre. Mais voyant le professeur, il ne discuta pas plus longtemps et le suivit dans son bureau. Sacha avait envi de faire vite et d'aller tout sauf se oucher. Peut être retournerait il allaer se balader dans les couloirs. Sur le trajet du bureau, Sacha pestait, parlait fort, soufflait et insultait presque les tableaux. Qu'est ce qui pouvait être désagréable et méprisable lorsqu' Alexandre avait le plein pouvoir.

Il rentra derrière le professeur. Non il n'avait pas envi d'être gentil. De se tenir à sa place. Pourquoi faire ça ? on lui anonce qu'il va être punit et il doit rester calme comme un bon toutou à dire "oui-oui". Du moins c'est comme ça qu'il voyait la situation lorsqu'il était dans un état de rage avancé. Il prit un peut trop ces aises dans le bureau du professeur. Mais une chose l'avait étonné que le professeur lui ai proposé une chasse aux passage secrets. Le professeur s'était montré plus que clément et Sacha avait montré son pire visage. Il devait reprendre le dessus sur ALexandre, il devait prouvez qu'il pouvait être "sage". Mais reprendre le dessus d'allait pas s'avèrer de tout repos





❝ ▬ Alexandre s'il te plait laisse moi ! !on s'est assez fait remarqué ainsi. En plu pour une fois qu'on ne sera pas uniquement punit. On a une chance de s'en tirer sans rien . Ce serait mieux qu'une retenu qui donerrais encore plus raison au professeur Sonozoa de ne pas nous enseigner ce qu'on veut ! ❞




❝ ▬ Et puis quoi encore ? Déjà que l'autre con veut divulguer notre secret à tout le monde ! Il nous met en danger et toi ça te dérange pas ! Putin mais tu sers vraiment à rien! De tout façon je peux rien dire dans cette situation ❞



Sacha sortit alors sa baguette de sa poche dévisageant le professeur . Il croisa le regarda du professeur soucieux. Il s'en servit pour remettre proporement sa chemise afin qu'elle soit parfaitement repassé, ainsi que son pantalon, puis la rangea. Il finit pas s'asseoire convenablement face au professeur et par dire :




❝ ▬ Navré professeur, je ne voulais pas mal vous parler. Je suis navré de vous dire cela mais ce qui c'est passé dans ce couloir ne regarde que moi. Et je vous prie professeur de me crois que pour vous et particulièrement pour moi cela ne servirait pas à grande chose de revenir dessus. Je suis navré de vous avoir presque insulté. J'ai quelques soucis de canalisaton en ce moment. Je vous presente mes excuses sincère. Je sais que je n'ai pas à me trouver dans les couloirs, ni à vous parler comme je l'ai fait. Et je comprend bien que vous soyez dans l'obligeance de sanctionner un tel comportement ❞



Sacha essaya de rester le plus calme possible malgré la rage de tous les évènements. Encore une fois, à un moment il était blanc et d'un coup il passait au noir avant de repasser au blanc. La gestion de ces personalités étaient particulièrement difficile  




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Alouarn Grimgorson
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MessageSujet: Re: Nuit blanche dans un bureau   Nuit blanche dans un bureau 1387502757-horlogeMer 5 Aoû 2015 - 21:30



Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence alors tais-toi !



PARTICIPANTSAlouarn Grimgorson & Sacha Trètiakova
Résumé • Mars 2014, aux alentours de minuit et demi, quelque part dans les couloirs du cinquième étage, Alouarn se promène, accompagné d’une hallucination. Les portraits de Poudlard ne sont pas très commodes car réveillés en pleine nuit. C’est alors qu’il tombe sur Sacha. Il lui demande alors de l’accompagner dans son bureau où ils ont une petite conversation.



Nuit blanche dans un bureau


J’aurais aimé être une toute petite souris. Je n’avais pas vraiment la tête à discuter avec un élève colérique et insolent. Je savais que j’étais dans mes droits et que c’était mon devoir de remettre les jeunes gens de la trempe de Sacha dans le droit chemin. Beaucoup me diront que je me prenais un peu trop pour le bon samaritain, et que toute personne ne méritait pas d’être sauvé. Certains appelleraient ça de la pitié : mon interlocuteur n’en avait pas besoin ; d’autres nommeraient ça « la gentillesse » : le protagoniste qui me faisait face ne méritait pas un tel affront. J’entrais dans mon bureau, laissant à monsieur Trètiakova le bon de fermer la porte derrière lui : je détestais les courants d’air.

Je m’assis derrière mon bureau, indiquant d’un geste de la main l’une des deux chaises. J’espérais que, malgré sa colère et son insolence, il accepterait mon invitation à s’asseoir. Sur mon bureau était posé un plateau : sur ce dernier étaient posées quatre tasses et une théière d’où s’échappait un maigre filet de fumée. Un arôme de fruits des bois se mélangeait avec l’odeur de l’encre et les effluves de livres et de parchemins. Je servis tous les récipients tout en écoutant les excuses maladroites du jeune homme : je l’avais déjà eu plusieurs fois en cours, et il avait eu un comportement identique à celui dans le couloir : qu’est ce qui l’avait poussé à se calmer de la sorte ? Je savais qu’il avait encore beaucoup de travail : il devait apprendre à gérer ses émotions, surtout pour le poste qu’il occupait.

❝ ▬ Ne me dis pas que tu vas apporter ton aide à un garnement tel que ce Sacha Trètiakova. Il ne mérite pas notre attention : c’est un hérétique de la pire espèce. Je te conjure d’éloigner ce démon de cet endroit béni des Dieux. N’est ce pas misérable que l’on accepte au sein de cette splendide école le fils du Diable en personne ? ❞

Joshua, l’une de mes hallucinations récurrentes, était un vieux prêtre qui croyait dur comme fer à la malédiction qu’était, pour lui, la sorcellerie. Il n’hésitait pas à me rappeler ô combien les hommes étaient mauvais, surtout lorsque j’avais un personnage tel que ce jeune élève dans mon bureau. Je ne réagit pas à sa remarque, remerciant le ciel qu’il n’y ait que moi qui puisse l’entendre. Son acolyte ne devrait pas tarder.

Je profitais du peu de répit que j’avais pour proposer une tasse de thé à mon interlocuteur. J’en poussais une nonchalamment vers Joshua : mon geste était, en soi, complètement stupide. Pour sûr que mon spectre illusoire n’allait pas prendre réellement cette tasse, mais je m’accrochais désespérément à ce que je connaissais. Je mis la dernière tasse en face de la chaise vide. Je proposais du sucre et du miel à mes différents partenaires. Je finis par mettre le produit des abeilles dans mon bol. Je tournais lentement le breuvage à l’aide d’une petite cuillère : je laissais le silence planer quelques minutes sur notre trio. Je finis par prendre la parole :

❝ ▬ Je peux au moins vous féliciter pour votre discernement. ❞




Mon ton avait été froid, voir même glacial. Joshua sourit, laissant ainsi apparaître des dents jaunis par le temps : je le soupçonnais d’ailleurs de fumer. Je bus une gorgée de mon breuvage, et finis par dire d’un ton plus chaleureux :

❝ ▬ A dire vrai, même s’il est interdit de se promener dans les couloirs la nuit, il est recommandé d’avoir une ou deux escapades nocturnes par semaine… Du moment que cela n’altère ni votre comportement ni votre assiduité à suivre les cours. ❞

❝ ▬ Comment ? Tu prends son parti maintenant. Dis-moi que je rêve ! Tu es un professeur, pas son ami. Je t’interdis formellement de le prendre sous ton aile. Eh, est ce que tu m’écoutes ? Sois un peu réaliste ! Vous avez au moins quinze ans de différence. Ce que tu es en train de faire là n’est pas très cathodique !❞

❝ ▬ Vous donnez une punition serait bien stupide de ma part, mais votre insolence a fini de vous couler… Je devrais prévenir votre directeur de maison mais, j’ai bien mieux à vous proposer ! De ce fait, après mûres réflexions, je vous propose un marché !❞

❝ ▬ Un marché ? Et puis quoi encore ! Je te rappelle que tu fais parti du corps enseignant ! Tu ne dois pas passé d’accord ou de traité avec l’adversaire. Ce n’est pas dans les bonnes manières de faire la guerre. Ecoute-moi : je suis vieux et j’ai de l’expérience. Ensemble, nous pourrions conquérir le monde et faire de toi le roi de ce nouveau royaume. Mais, pour y accéder, il faut te débarrasser de lui ! ❞

❝ ▬ Ne prends pas en compte ce qu’il te dit. Ce croûton pourrait faire passer son chat pour Satan lui-même ! Comporte-toi en véritable professeur et fais ce qui te paraît le plus juste !❞

Eric, ma seconde hallucination, était enfin arrivé. La guerre entre mes deux illusions était déclarée. Je n’allais plus pouvoir me concentrer sur Sacha. Je pris une grande inspiration. Ma main se crispa sur ma tasse alors que je la portais à mes lèvres : le breuvage me brûla la langue et le palet. Je restais de marbre alors que la querelle reprenait de plus belle.

❝ ▬ Engeance du démon ! Tu n’aurais jamais du venir ici. Nous n’avons pas besoin de pleutre tel que toi dans les parages. Laisse les grandes personnes régler les affaires du pays pendant que toi, tu iras te gaver de sucreries !❞

❝ ▬ Tu as toujours le mot pour détendre l’atmosphère. Tes conneries vont nous faire rater la conversation entre notre protégé et cet élève pas si charmant que ça. J’espère pour toi que le fil rouge n’a pas été perdu ! ❞

❝ ▬ Ah, vois comme tu es d’accord avec moi ! Ce jeune… garçon n’est autre qu’un démon de la pire espèce. Nous ne pouvons lui faire confiance. Achève-le pendant qu’il est encore temps !❞

❝ ▬ Tu racontes vraiment n’importe quoi. C’est juste un garçon paumé qui a quelques petits soucis de comportement. Il faut arrêter de crier au loup lorsque nous avons un agneau qui veut se prendre pour un loup. Il y a quand même une nette différence. ❞

Ils m’agaçaient. Tous les deux. Ma tasse finit par se briser tellement je la serrais fort. Elle m’entailla profondément la main, et le sang commença à se répandre sur mes phalanges. Je ne pus m’empêcher de lâcher un « merde » avant de lancer un :

❝ ▬ Ne bougez pas d’ici, je reviens. ❞





Je rinçais la plaie et vins faire un solide bandage sur ma blessure. Je n’étais pas particulièrement friand des sortilèges, surtout lorsque l’instigateur des contusions était le maitre du corps lui-même. Je revins à ma places, mes deux hallucinations étant toujours là : Joshua s’était confortablement assis sur mon bureau, laissant ses jambes pendre dans le vide ; quant à Eric, il était toujours assis sur sa chaise et baillait aux corneilles. Sachant qu’ils allaient encore discuter chacune de mes paroles, je me décidais à prendre les devant. Je me levais et vins ouvrir la porte :

❝ ▬ Veuillez m’excuser, monsieur Trètiakova. Je règle un détail avec mes démons du passé, du présent, et du futur, et je suis à vous. ❞



Puis à l’adresse des deux spectres illusoires :

❝ ▬ Vous allez maintenant prendre vos affaires et déguerpir de ce bureau. Je vais faire comme si je n’avais rien entendu de vos venimeuses paroles. ❞


❝ ▬ Tu ne crois tout de même pas que tu vas nous jeter comme des malotrus. Je te rappelle que nous sommes une extension de ton esprit tordu et malodorant. ❞


❝ ▬ Je sais très bien qui vous êtes, tous les deux. Vous êtes des fripouilles qui ne demandent qu’à s’exprimer. Je vous laisse assez de place pour que vous puissiez discuter et exposer vos points de vue. ❞

❝ ▬ Mais nous sommes là pour t’aider à démêler le vrai du faux. Ce jeune homme te prenait pour un con tout à l’heure. Laisse-nous te soutenir !❞


❝ ▬ Je n’ai pas besoin que l’on m’assiste. Alors, maintenant, vous prenez la porte. Peu m’importe que votre amour propre en prenne un coup. Vous vous en remettrez. Si vous voulez bien m’excuser, j’ai une conversation à terminer avec monsieur Trètiakova. ❞

Mes hallucinations sortirent en se disputant : ils disparurent au coin du couloir. J’avais appris à vivre avec mes illusions. Et je n’en avais pas honte. Il était donc impossible de me faire du chantage avec. Pour le moment, elles ne m’avaient pas perturbé en cours, et je priais pour que cela continue ainsi. Néanmoins, j’assumais totalement qui j’étais : un schizophrène. Je vins ramasser les morceaux de verre et les jetais à la poubelle. J’attrapais une serviette tandis que mes feuilles de cours s’envolaient et venaient se poser un peu plus loin. Je repris gravement la parole :

❝ ▬ Bon, où en étions-nous avant d’être coupé par des imbéciles ? Ah oui, un comportement et un marché. Je vous propose donc de venir le soir après les cours pour que nous travaillions sur la canalisation de vos émotions. Vous viendrez jusqu’à ce que vous puissiez vous passer de mes services. Faites en sorte d’y mettre un peu du votre, et l’incident de ce soir restera entre nous. Qu’en pensez-vous ? Prenez garde, monsieur Trètiakova, le moindre faux pas, que cela soit avec un élève ou l’un de mes collègues, et vous perdez absolument tout. Ne croyez pas que des excuses effaceront votre insolence et vos actes. Pour une fois dans votre vie, faites en sorte d’être un homme heureux. ❞




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MessageSujet: Re: Nuit blanche dans un bureau   Nuit blanche dans un bureau 1387502757-horlogeJeu 6 Aoû 2015 - 15:52



Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence alors tais-toi !



PARTICIPANTSAlouarn Grimgorson & Sacha Trétikova année
Résumé • Minuit passé, Sacha se  retrouve dans le bureau du professeur Grimgorson  pour s'être baladé dans les couloirs du 5 eme étage.



Nuit blanche dans un bureau




Sacha était assis confortablement dans le bureau du professeur Grimgorson. Il n'avait pas attendu l'invitation du professeur pour s'y installer. La colère la rage, et les tentatives désespérées du jeune homme pour se calmer le rendaient à fleur de peau. Il avait déjà fait une mauvaise impression lors de son arrivée et devait rattraper l'ensemble des conneries qu'il avait faites. Il était présent devant lui un plateau comportant quatre tasses de thé une théière d’où s’échappait un maigre filet de fumée. Les arômes qui envahissaient la pièce lui rappela l'Ukraine son pays. Et sa mère , sa douce mère biologique qui préparait le thé avec une délicatesse extraordinaire. Avant de le servir bouillant et fumant à l'ensemble de la famille. Les thés russes de sa mère étaient un superbe mélange de thés noirs et d'agrumes, évoquant le citron, citron vert, orange douce, orange amère, pamplemousse, bergamote et mandarine. Les Goûts russes sont les thés consommés régulièrement en Russie depuis le XVII ème siècle. À l'origine, mélanges de thés noirs chinois, les thés consommés par les Russes se diversifient avec l'arrivée, à la fin du XIX ème siècle, des thés de l'Inde, Darjeeling notamment, à la cour de Russie. On a pris depuis l'habitude d'appeler Goût russe, tout mélange de différents thés noirs chinois et de Darjeeling, parfumé ou non avec des essences naturelles d'agrumes. Sacha par ses origines, était un grand amateur de thé.




❝▬ Professeur, j'ai du mal à distinguer à quel type de thé nous avons à faire, je ne dirais pas que c'est du thé vert. En effet professeur, le thé vert est un thé peu oxydé lors de sa fabrication, conservant ainsi intactes ses propriétés. Ce type de thé est très populaire en Chine et au Japon, où il est réputé avoir les propriétés thérapeutiques les plus efficaces. Il se répand de plus en plus en Occident, où traditionnellement on boit plutôt du thé noir. Il est aussi l'ingrédient de base du thé à la menthe. Cette Particularité fait qu'il est très doux au gout. Il est généralement bu le soir, car sa faible oxydation le rend faible en théine ❝



Prenant le temps de finir la tasse bouillante qu'il avait devant lui, il dégustait comme un mets particulièrement délicat le contenu que le professeur lui avait versé. Le mélange de toutes ces saveur, il était comme un drogué qui venait de prendre sa drogue. Puis repris son exposé sur le thé :


❝▬ Professeur, arrêtez-moi si je dis des bêtises. Le thé noir est le thé de tous les jours,c’est un thé qui a subi une oxydation complète et celui qui est le plus répandu en Occident. Il peut se conserver plusieurs années sans perdre sa saveur ce qui lui a permis, historiquement, d'être un thé de commerce entre l'Asie et l'Occident.En occident, le thé noir est très souvent parfumé. Cependant sa forte oxydation, l'enrichie en théine. Et l ne serait pas bien sein pour notre sommeil, que vous nous le serviez à cette heure tardive de la nuit. Alors, dites-moi professeur, à quel thé avons-nous le droit. ❝




Soudain l'attitude du professeur devient particulière avec des phrases que très peut cohérente. Cela lui rappela étrangement une personne. Une personne qui connaissait bien et en même temps pas. D'un point de vue extérieur, cette personne aurait pu être confédérée comme fou. Mais cette personne qui est ce ? Lui ! Lui-même. Il entendit soudaine dans sa tête ou plutôt prononça à voix haute la conversation d'Alexandre sans s'en rendre compte. Il semblait être deux personnes complètement différentes. Le ton de la voix, l'attitude, la position tout changeaient entre Alexandre et Sacha. Et Sacha cette personne qui subissait les aléas de ces personnalités.



❝ ▬  Tu crois qu'il est comme nous ? Il pourrait nous comprendre ! Il ne te jugerait pas au moins ! Cela pourrait nous être d'une grande aide.  ❞




❝ ▬Mais arrête tes conneries ! Il nous prendra pour un fou plus qu'autre chose ! Ce n'est pas une bonne chose que tu te rapproches d'un professeur. Il te lâchera au dernier moment comme tout le monde ! Putain les enseignements de notre ami ne t'ont pas suffit !  ❞



❝ ▬  C'est faux ! Regarde l'autre professeur ! Il est prêt à nous enseigné ! Il a prit du temps pour nous ! Tout n'est pas mauvé ici   ❞




❝ ▬ C'est pour ça qu'on a reçu une torture mentale ! On a fait que subir ce professeur alors arrête-toi ! Il ne veut pas nous enseigner , il nous l'a clairement dit ! ❞



Monsieur Trétiakova regarda le professeur, le jeune homme ne s'était pas rendu compte que tout ce qui était censé se passer dans sa tete c'était en réalité passé à haute voix; Il regarda le professeur comme si de rien était. Car pour lui s'était le cas; Il porta sa main à sa tempe pour tout faire taire. Il fut surpris lorsque le professeur explosa la tasse de thé dans ses main avant de lui dire qu'il avait certain problème à règler avec ces demons du passé. Sacha pensa que cela ne pouvait être pire que le bruit qu'il pouvait vivre dans sa tete. Avant que le professeur ne lui parle de marché, il commença presque contre sa volonté à parlé. Sacha sa personnalité avait prit le dessu et le forçait à parler :



❝ ▬  Professeur, je ne voulais pas être insolent tout à l'heure. J'ai assez de soucis comme ça en ce moment, et j'aurais aimé éviter de m'attirer les foudres d'un autre professeur. J'étais avec une autre élève, mais s'il vous plait ne la punissez pas. Cette personne est ma copine, mais voilà, professeur nous allons dire que je sis un peut différent. Je l'ai prévenu, je lui ai avoué certains secrets qu'elle n'a pas supportés. Ce qui m'a mis hors de moi. Je n'aurais pas dû me balader j'en suis navré, mais je vous en prie passé au-dessus de ça pour une fois.

 ❞

 

Monsieur Trétiakova regarda le professeur, le jeune homme ne s'était pas rendu compte que tout ce qui était censé se passer dans sa tete c'était en réalité passé à haute voix; Il regarda le professeur comme si de rien était. Car pour lui s'était le cas; Il porta sa main à sa tempe pour tout faire taire. Il fut surpris lorsque le professeur explosa la tasse de thé dans ses main avant de lui dire qu'il avait certain problème à règler avec ces demons du passé. Sacha pensa que cela ne pouvait être pire que le bruit qu'il pouvait vivre dans sa tete. Avant que le professeur ne lui parle de marché, il commença presque contre sa volonté à parlé. Sacha sa personnalité avait prit le dessu et le forçait à parler :



❝ ▬ Je suppose que je n'ai pas réelement le choix. Mais pourquoi me proposez vous cela professeur. j'ai des soucis pour me canaliser c'est vrai mais je ne comprend pas pourquoi vous voulez m'aider. Et en quoi cela consistera ? Comment allez vous faire ? Et qu'entendez vous par si je manque de respect à mes camarades ou à mes collègue je perdrais tout ? Je perdrais quoi ? Votre enseignement ? Ou plus ? ❞



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MessageSujet: Re: Nuit blanche dans un bureau   Nuit blanche dans un bureau 1387502757-horlogeMer 12 Aoû 2015 - 16:32



Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence alors tais-toi !



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Résumé • Mars 2014, aux alentours de minuit et demi, quelque part dans les couloirs du cinquième étage, Alouarn se promène, accompagné d’une hallucination. Les portraits de Poudlard ne sont pas très commodes car réveillés en pleine nuit. C’est alors qu’il tombe sur Sacha. Il lui demande alors de l’accompagner dans son bureau où ils ont une petite conversation.



Nuit blanche dans un bureau


Je pris une grande inspiration, laissant ainsi ces volutes qui s’échappaient de mon breuvage encore brûlant prendre possession de mes narines. Je me délectais de l’odeur de cette étrange liqueur. Son arôme m’enivrait, elle prenait la peine de réveiller mes neurones déjà en repos à cette heure avancée de la nuit. J’observais mon interlocuteur : son langage corporel et ses discours en disaient long sur sa personne. Il avait beaucoup de travail à faire, mais je ne désespérais pas pour autant.

Je fus quelque peu déçu par son attitude : il avait pris ses aises avant même que je l’y invite. C’était une façon comme une autre de montrer qu’il pouvait passer au dessus de mon autorité. Que cherchait-il exactement à faire ? Je pouvais comprendre qu’il était à fleur de peau, sur les nerfs, mais ce n’était pas une raison pour passer outre les règles de bienséance. Je ne savais pas comment il voulait rattraper le coup mais la forte mauvaise impression qu’il avait donné quelques instants plus tôt perdurait.

Il commença alors un exposé sur le thé. Je fus assez surpris qu’il dévie ainsi de la conversation première : était-ce un moyen de faire diversion ou une ouverture sur un pan de sa vie ? Il ne fallait pas que je me leurre : Sacha était un garçon intelligent et je pensais que toute prise de parole n’était pas une action désintéressée, bien au contraire. Il prit le temps de finir le  contenu brûlant de la tasse. J’étais sûr d’une chose : ce n’était pas un amateur de thé. Il était bien plus que ça.

C’est alors qu’une étrange conversation anima le jeune homme qui me faisait face. Il avait clairement deux attitudes distinctes. L’une devait être Sacha : ce dernier espérait encore. Il cherchait farouchement de l’aide, un soutien. L’autre, une entité plus colérique, plus désabusée. Elle n’attendait plus rien de la vie, comme si elle voyait en l’autre que ce qu’il y avait de plus mauvais. Elle semblait avoir nettement le dessus. Je ne dis rien, continuant à boire mon thé. Je me concentrais sur la conversation. Il était question d’un professeur : ainsi, je n’étais pas le premier. Je ne savais pas de quel collègue il parlait mais il faudrait que je me renseigne. Il fallait que je prenne du recul par rapport à la situation.

Je me devais d’analyser la situation. Il était clair que Sacha souffrait d’une sorte de dédoublement de la personnalité. Comment être sûr qu’il ne me roulait pas dans la farine ? Non, cette altercation était bien trop évidente. Il resta impassible, comme si l’échange n’avait jamais eu lieu. Se rendait-il compte de la situation dans laquelle il se trouvait ? Je l’écoutais, sans broncher, dans ses monologues. Lorsqu’il eut terminé, je restais de marbre, le visage fermé, l’air soucieux.

Balzac disait que la bêtise humaine avait deux manières d’être : elle se taisait ou elle parlait. Seule la bêtise muette était supportable. Avait-il raison ? La colère et l’insolence de mon partenaire avaient eu raison de lui. Ses sottises allaient finir de l’achever. Je ne savais comment prendre ses déclarations. Je finis par prendre une gorgée de mon breuvage : il fallait que je prenne une décision. Il fallait absolument que je résolve cet épineux problème, et il était tout à fait hors de question que je le laisse repartir sans m’être assuré qu’il ne recommencerait pas.

Je posais ma tasse sur la coupelle qui se trouvait sur mon bureau. Je ne me lassais pas de regarder les voluptés qui s’en échappaient. Cela m’aidait grandement à me concentrer. Je m’imaginais que la fumée prenait des formes de monstres antiques, de visages historiques. Je reportais mon attention sur le jeune homme. Je lui proposais, d’un geste de la main, de reprendre du thé. Devais-je le féliciter pour ses connaissances dans ce domaine ? Non. Le moment était mal choisi. Je me réservais donc le droit de l’encourager à un autre moment.

❝ ▬ Monsieur Trètiakova, ne croyez-vous pas qu’il soit un peu tard pour éprouver des regrets ? Je ne peux que constater, avec regret, que votre comportement ne vous a pas été d’un grand secours auprès de mes collègues. Un secret n’est pas fait pour être dévoilé, surtout à votre âge. Entre nous, je crois que vous avez pris le problème à l’envers. Il semblerait que ce que vous considériez comme un secret n’en soit pas réellement un. Le plus dur sera d’accepter ce que vous êtes vraiment au plus profond de vous même. Cela ne sera pas une partie de plaisir, je vous l’accorde. Parfois, vous aurez l’impression de faire du sur place ; à d’autres moments, vous penserez que les exercices effectués seront inutiles, enfantins. Je ne vous demande qu’une chose : apprenez à me faire confiance, je tenterais de faire de même. Un seul faux pas et je mettrais tout en œuvre pour que vous n’oubliez jamais qui vous êtes vraiment. ❞

Je fis une petite pause, hésitant à boire une gorgée de mon breuvage avant de reporter mon attention sur le serpentard. Je repris mon exposé :

❝ ▬ Il est vrai que je pourrais passer l’éponge, mais ça serait beaucoup trop facile. Votre parole ne me suffit pas : les mots ne sont rien tant que les actes ne sont pas là. Je mets votre punition en suspend pour le moment. Sachez néanmoins que vous avez une épée de Damoclès au dessus de la tête. Je n’hésiterais pas à faire tomber la sanction si votre insolence et votre haine vous rattrapent et vous font imploser. Sachez que vous avez toujours le choix : selon votre sélection, les conséquences ne seront, bien entendu, pas les mêmes. Faut il vraiment une raison pour aider son prochain ? C’est de mon devoir que de vous venir en aide. Qui sait, cela vous ouvrira peut être d’autres portes. Vous verrez bien. Pour faire simple, cela consistera en une série d’exercices dont vous ne comprendrez pas tout de suite les enjeux. Et vous perdrez beaucoup plus que mon enseignement. Je ne vais pas vous faire une liste complète de tous les sévisses auxquels vous pourriez avoir accès, mais un renvoi de Poudlard devrait vous aider à vous calmer, même si ce dernier n’est pas définitif, je doute que vous aimeriez expliquer le comment du pourquoi à vos parents. Alors, êtes vous prêt à commencer ? ❞




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