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 Une Nouvelle Vie [solo, past, rentrée scolaire précédente] [fini]
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MessageSujet: Une Nouvelle Vie [solo, past, rentrée scolaire précédente] [fini]   Une Nouvelle Vie [solo, past, rentrée scolaire précédente] [fini] 1387502757-horlogeVen 24 Juil 2015 - 22:44
L'envoyé du ministère avait été tout, sauf discret. Son arrivée avait semé l'émoi dans le manoir d’Avalon, qui avait ressemblé pendant un temps à un poulailler sentant venir le renard.
L'ordre avait fini par être rétabli, mais la tension se lisait sur les visages des femmes du clan. Llewellyn avait préféré prendre la tangente, profitant de l'attrait causé par la visite sur les cousines, et s'était réfugié dans l'ancienne bibliothèque.
La ... "discussion" avait du être houleuse, car la tension, le duel de volontés avait épaissi l'air d'une atmosphère d'orage, et que la vieille bâtisse en avait craqué sur ses membrures millénaires. Quelques éclats de voix en avait même filtré, entre les étages et dans les corridors mornes.

Toujours est il que cela semblait s'être un peu calmé, un compromis devait être proche, car lLewy n'avait plus rien entendu depuis plusieurs longues minutes quand la voix de rogomme éclata dans la cage du grand escalier ... autrefois ...d’apparat :

Llewellyn ! Dans le Grand Salon ! I-MME-DIA-TE-MENT !

S'il y avait bien une chose à laquelle le garçon ne s'attendait pas, et qu'il redoutait par dessus tout, c'était bien une confrontation avec la Matriarche, qui ne quittait plus guère cette salle, où elle vivait comme une recluse et d'où elle dirigeait les destinées du clan, comme une araignée venimeuse au centre de sa toile d'intrigues.
Sachant très bien ce qu'il encourait de brimades et punitions, s'il avait le malheur de la faire attendre, il dévala quatre à quatre les marches des deux étages le séparant du rez-de-chaussée, et fini sa course en glissade devant la porte du-dit grand salon, ancienne salle de bal du temps de la splendeur.
La matrone qui l’avait appelé ne jeta sur lui qu'un simple regard, déjà chargé du dégoût qu'il avait l'habitude de les voir arborer, plus un petit quelque chose de mépris supplémentaire.
D'un coup d’œil discret, Llewellyn se rendit vite compte que les abords du salon grouillaient comme jamais, de filles et de femmes, plus ou moins tapies dans les ombres, mal dissimulées derrière les meubles et les alcôves.
Il se dit que la matière devait être bougrement importante, pour qu'aucune matrone ne les aie chassées, toutes autant qu'elles étaient, vers des travaux plus constructifs. Il failli même laisser échapper un hoquet, en voyant parmi les voyeuses, quelques une des matrone subalternes, qu'on avait pas du juger assez importantes pour assister à l'entretien.

Presque figé de terreur, le garçon tenta de s'épousseter les bras et les jambes, comme pour rendre présentables ses vêtement miteux et rapiécés, quand la matrone ouvrit grands les deux battants de la pièce, en prononçant de sa voix tonitruante :


Le voilà, Mère !!

Le garçon vacilla vers l'avant, terrifié, et à peine eût-il fait quelques pas que les portes se refermaient derrière lui, claquant avec un bruit sépulcral, préfigurant pour lui le couvercle du tombeau où il était sur d'avoir pénétré.

A peine s'était-il habitué à la ténébritude des lieux, pour voir sur sa gauche le lumignon de la lampe à abat-jour de parchemin, avec de part et d'autre, la vieille Matriarche dans son fauteuil antique et un homme qui lui faisait face, debout, à la limite du cercle de lumière, que son bras fût croché par la serre cruelle d'une matrone qu'il reconnut sans la voir, rien qu'à sa poigne et à la haine qui sourdait d'elle comme un fiel, la matrone qui le détestait le plus, celle qui cautionnait les pires de ses supplices, sa propre grand-mère.
La douleur lui fit prendre une grande goulée d'air, et ce n'est qu'à cet instant qu'il se rendit compte qu'il avait retenu sa respiration. Il fut à moitié suffoqué par les remugles qui planaient dans la pièce, relents de moisissure, sécheresse de la poussière, odeur acre d'une bête crevée quelque part, senteurs lourdes de parfums de femmes et d'encens mystérieux, et surtout, l'odeur amère et sucrée de la vieillesse et de la mort.

Alors qu'il aller crier, de douleur et de désespoir, il vit du coin de l’œil une ombre blanche et fantomatique traverser la salle, comme pour lui apporter du réconfort. Alors, il ferma la bouche et serra les dents, bien décidé à retarder d'autant qu'il le pourrait leur triomphe, leur liesse de l'avoir une fois de plus brisé.
Sa grand-mère le traina jusqu'à l'abandonner à la lisière de la clarté, comme une épave sur le rivage, sur la lice de haute-mer.

Pendant son approche, la vieille Matriarche avait continué d’ergoter, de sa voix éraillée et sifflante, tranchante comme un couteau de pêche, et surement aussi empoisonnée :

Comprenez bien, vos soi-disant accords ont ruiné mon clan, vous nous avez arrachées nos meilleures terres, vous avez jeté nos villages dans la pauvreté et le dénuement, vous nous avez forcées à une économie de subsistance, et le peu d'argent que nous gagnons grâce au commerce est aussitôt engloutit dans vos impôts et taxes aux taux obscènes.
Heureusement que nos filles ne mettent pas plus de garçons au monde, ou nous serions obligées de les prostituer pour envoyer ces ... enfants ... dans votre maudite école !


Pendant sa tirade, Bran s'était approchée, et avait fini par se poser sur l'abat-jour de peau, et regardait vers la vieille d'un air vindicatif, en claquant parfois de son bec en forme de poignard.
La vieille, elle, venait de son rencogner contre son dossier, son regard fureteur, empli de malice et de méchanceté ... avec peut-être une pointe d'autre chose, semblant chercher quelque chose, comme si elle vérifiait la position de ses troupes, tapies dans l'ombre.


De plus, ce traité stipule que cette scolarité doit se faire à VOS frais !

L'envoyé avait jeté un regard sur le garçon déguenillé qui se trouvait près de lui, puis, pris d'un doute, il le regarda mieux. Son nez se plissa, et il sembla gouter l'air avant de reprendre la parole, avec un demi-sourire.

C'est entendu, Madame, et il insista sur le Madame, nous paierons notre part, comme le veulent les anciens accord ... mais quand est-il de la baguette ?

Pendant ce temps, il avait fait un demi-pas de placement, puis avait posé la main sur l'épaule du garçon, le prenant au dépourvu, fasciné qu'il semblait être par le manège de son "amie" invisible, quand la Matriarche reprit, pleine de rancœur


Et bien quoi, la baguette ? Quelle baguette ?

Il lança son sortilège informulé, son charme de désenvoutement le plus discret, sur le petit qui maintenant tremblait, comme s'il venait de comprendre qu'on parlait de lui, pour lui ...

En une fraction de seconde, Llew sentit son corps enfler, son esprit se détendre comme un gaz s'échappant d'une bouteille trop petite, il sentit l'ensemble de la création affluer pour gonfler son être, au point qu'il avait l'impression de ne plus toucher le sol.
Puis il se sentit retomber, abruptement, et serait tombé à genoux, si la poigne de l'homme sur son épaule ne l'avait retenu.
L'homme répondit à la vieille :

Hé bien, mais ... SA baguette, bien entendu ! Il a toujours été convenu que fournir la baguette revenait à la famille du postulant, c'est un objet beaucoup trop personnel, beaucoup trop ... intime, pour laisser cela entre les mains froides du ministère !

Malgré le brio de l'envoyé, la vieille avait du renifler quelque chose, peut-être à la vue du gamin, qui avait presque vacillé, mais son attention avait semblé être attirée ailleurs, peut-être quand, ce que Llew avait été le seul à voir, Bran avait agité ses ailes et poussé des croassement sonores ?
Toujours est-il que lorsque elle reporta son regard sur l'étrange duo, face à elle, elle avait une lueur inquiétante au coin de l’œil, inquiétante mais peut-être aussi un peu inquiète elle même.

Quoi qu'il en soit, nous n'avons pas les moyens de lui offrir une baguette neuve, mais ... il peut prendre n'importe laquelle de celles qui voudront bien de lui !

Et elle éclata d'un horrible rire caquetant.


Ho ? Vraiment ?


Et bien oui, c'est promis !
Hâr Hâr Hâr.


Fort bien, nous allons donc voir ça, mon garçon !

Il se tourna et s'accroupit pour être à hauteur du visage de l'enfant. Il lui fit un petit clin d’œil, du coté opposé à l’aïeule, pour être sur qu'elle ne le verrait pas. il expliqua, patiemment, mais avec une autorité manifeste qui capta l’attention du môme effrayé face à lui :

C'est très simple, tu ne dois pas avoir peur, il n'y a aucun risque. Tout ce que tu as à faire, c'est respirer profondément, et faire le vide dans ta tête. Et quand tu sera tout seul avec toi même, dans ta tête, tu dois lancer un appel, comme si tu demandais à un ami de venir ... parce que ta baguette, c'est ça, c'est le meilleur ami que tu auras, au moins au début, et tu dois lui faire sentir que tu l’attends, tu comprends ?
Et n'oublies pas, tends ta main devant toi pour la recevoir !


Llewellyn hocha la tête, et lança du coin de l’œil un regard vers Bran, qui sembla lui envoyé un clin d’œil complice, puis regarda l'homme devant lui. Il semblait si confiant. Llew inspira profondément, ferma les yeux, puis commença à alterner inspiration et expirations, comme le lui avait demandé l'Envoyé.
Il se trouva assez rapidement en sur-oxygénation, et alors qu'il sentait sa tête commencer à tourner, il lança son appel.
Au début, il ne se passa rien, et l'enfant appela à nouveau, ne voulant pas s'avouer vaincu si vite, pas devant Elles !
Il se produisit alors quelque chose, un craquement de bois, un bruit de verre brisé, un sorte d'explosion étouffée, et le bruit du bois qui se déchire, qui cède à la pression.
Sentant quelque chose se jeter dans sa main droite tendue devant lui, le garçon ouvrit les yeux tout en refermant les doigts, et contempla à la fois Bran, posée sur son bras, triomphante, et l'objet venu jusqu'à lui : un baguette de bois claire, couleur de miel, ornée d'incrustations blanches, peut-être de l'os ? peut-être de l'ivoire ?

Lorsqu’elle vit l'objet, tenu par les doigt qui s’étaient instinctivement refermés dans une parfaite position, pouce et majeur de chaque coté, index étendu sur le dessus, prise qu'elle savait parfaitement ne JAMAIS avoir été enseignée au garçon, elle éclata soudain :

Ha non, alors ! Pas cette baguette !


Comment ? vous préférez supporter le coût de fabrication d'une baguette neuve ?

La vieille chouette grinça, comme prise au piège, son propre piège ...


Très bien ... J'ai promis ... De toutes façons, cette vieillerie ne sert plus à personne, alors ...


Toujours est-il que sa rage ne l'avait pas quittée, quand, les derniers arrangements pris, l'Homme quitta la salle avec l'enfant à son côté.


N'oublie pas, petit bâtard, n'oublie jamais de toujours regarder derrière toi ... Un accident est si vite arrivé, ça serait triste, non ?  
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