Pamona Falk
Madeleine susceptible Afficher infos Messages : 87 Date d'inscription : 10/07/2015 Âge : 30 Dossier Statut: Elève de quatrième année, Serpentard Argent: 1500 gallions Points: 450
| Sujet: Ahem. En-enchanté de faire votre c-connaissance. Enfin, je crois... Ven 10 Juil 2015 - 16:46 | | | | ~ Informations de base ~ ♦ Nom(s) : Falk ♦ Prénom(s) : Pamona ♦ Âge : 12 ans (13 octobre 2001) ♦ Surnom(s) : Pam, Pamo, Mona, ... ♦ Sexe : ♂ ♦ Pays d'origine : Pays de Galles (Cardiff)/Angleterre (Oxford)
♦ Statut :Élève ♦ Classe : Deuxième année ♦ Familier :/ ♦ Baguette : Rouvre avec un cœur en plume de phénix; 25 cm; plutôt flexible
♦ Orientation sexuelle : En relation conflictuelle avec ses peluches... ♦ Particularités : Frange masquant ses yeux ♦ Personnage sur l'avatar :Belphegor de Katekyo Hitman Reborn !
~ Descriptions ~ ♦ Physique : Haut de son mètre quarante trois, ce petit brin d'homme n'est pas loin de la taille « moyenne » des enfants de son âge. Fluet et quasiment dépourvu de muscles, il ne se démarque pas vraiment des autres par sa carrure, c'est un fait. En même temps, ce n'est qu'un pré-adolescent, pas encore sorti de l'enfance, et franchement pas un sportif de haut niveau. Oui, ce n'est encore qu'un enfant, aux cheveux blonds – coupe au bol et franche-cacheuse-d’œil s'il-vous-plait! - et aux yeux bleus. Il a un teint clair, bien que pas diaphane ou maladif. Juste clair. Ce qui ne veut pas dire qu'il lui est impossible de prendre des couleurs ! Bien au contraire ! Il faut cependant savoir que lors de ses sorties au Soleil, sa mère (ou son père) le tartinait allègrement d'écran total. Et notre petit Pam avait pour mission de s'en remettre régulièrement. Efficacité totale : il n'eut que rarement des coups de soleil... Ainsi qu'un bronzage digne de ce nom. Au niveau de son visage, rien de bien notable également. Il a des yeux bleus, comme dit tantôt, d'une forme... Eh bien, banale. Un petit nez en patate, des joues encore bien rondes, des lèvres ni fines ni spécialement charnues, et une dentition des plus irréprochables et d'un joli blanc. Un enfant normal qui se lave fréquemment les dents, donc. (bien que l'on ne comptera pas le nombre de caries qu'il a eut, malgré les brossages fréquents.)
D'un point de vue vestimentaire, outre son uniforme de Poudlard, il se vêt comme tout moldu de classe moyenne. Et de douze ans. T-shirts, survêtement, débardeurs, sous-pulls, pull-overs, jeans (dont la plupart sont troués aux genoux), shorts, salopettes, bermuda... Tout y passe. Il n'a pas un grand sens de la mode, le petit Pamona. Il se contente de s'habiller comme l'envie lui prend, avec ce qui lui passe sous la main. Il a cependant tendance à porter au moins un vêtement de couleur vive, et il faut toujours que sa tenue soit confortable avant d'être correcte esthétiquement parlant. Encore qu'il concède à porter des vêtements moins confortables lorsqu'il n'en a pas vraiment le choix.
♦ Psychologique : Pamona est un enfant comme tous les autres : il aime s'amuser, les sucreries, être gâter par sa famille, chahuter avec ses amis... Un enfant, donc. Il n'en reste pas moins sage, poli, et relativement calme : jamais il ne répond aux professeurs (la puberté et la phase « rébellion » ne s'étant pas encore enclenchées dans son cas) ; il sait attendre sans filer n'importe ou et sans faire le zouave quand ses parents ou un adulte est occupé à autre chose (bien que cette patience soit parfois relative), par exemple lorsqu'ils discutent avec une connaissance de longue date alors qu'il les accompagne faire quelques courses. Bon, ces qualités mises à part, Pamona est également très têtu, et possède son précieux petit ego. S'il veut quelque chose, il compte bien tout faire – ou presque – pour l'avoir ! Quitte à demander à sept personnes différentes quinze fois de suites. Si maman n'est pas d'accord, allons voir beau-papa ! Et si lui n'est pas d'accord, allons voir... Bref, vous voyez le topo. Et quand le dialogue ne fonctionne pas, deux options se présentent à lui : agir presque discrètement (du moins aussi discrètement que possible pour un gosse), ou bouder. Et quand je dis bouder, c'est bouder, râler, pleurer.
Non pas qu'il soit spécialement gâté ! Bon, si, un peu. Mais il ne s'agit pas d'un gosse gâté type « je fais un caprice et on me donne ce que je veux ». Bref. Pamona est un enfant sensible. Très sensible. Il pleure facilement, surtout s'il est contrarié, vexé, ou apeuré. Il tend à vouloir aider ses proches lorsque les choses vont mal, à les cajoler comme il le peut, malgré sa timidité. Et lorsque les choses ne se passent pas exactement comme il le désire, ou comme sa logique semble le guider, alors il boude, râle, pleure... Un gosse, donc. Pamona n'est cependant pas plus mature que les enfants de son age. Il est juste un peu calme, et aussi intelligent et espiègle que tout petit garçon de douze ans. Il n'est cependant pas intrépide, du moins la plupart du temps il préfère laisser aux autres le soin de jouer aux « jeux dangereux », comme il aime le dire. Aussi, Pam n'est pas un exemple de courage. Certes, s'il le faut, si les circonstances sont telles qu'il n'en a pas le choix, il tentera de secourir ses proches. Mais en d'autres circonstances, soit il panique, soit il tente de prévenir quelqu'un qu'il juge plus apte à gérer la situation. Autre option : il fuit.
Enfin, lorsqu'il est intimidé, gêné, ou simplement d'humeur timide, il se met à bégayer, balbutier, et marmonner ses réponses au lieu de parler clairement. Oui, c'est surtout dans pareils cas que sa timidité – plutôt modérée en temps normal – se présente et s'impose. Et si Pam est trop brusqué, alors deux options, étonnamment semblables, sont disponibles : Pam vire au rouge vif, balbutie davantage et fuit, ou bien il a les larmes aux yeux, balbutie, et... fuit. Mais en temps normal, bien qu'un brin réservé de prime abord, c'est un petit gars assez sociable, et bon vivant. L'innocence des enfants.
Derniers petits détails de sa personnalité : c'est un fan inconditionnel des peluches en tout genre, et un amateur de sucreries. Il préfère la nourriture sucrée, bien que ce qui est salé ne le dérange pas. Mais si vous avez le malheur de lui donner de la nourriture épicée ou amère... Option un : il vire au rouge vif, les larmes aux yeux, à cause des épices trop forts pour son palet délicat. Option deux : faire un bruit de dégoût profond inimitable, et tout aller cracher dans les toilettes/le mouchoir/la bassine/n'importe quoi l'plus proche. Option trois : le petit Pamona est cassé.
Ce ne sont là, évidemment, que des petites portions d'une personnalité en devenir. Pamona est bien trop jeune, peu expérimenté pour avoir un caractère et un raisonnement définitifs. Un peu comme tout le monde, remarquez. Quoi qu'il en soit, il est, tout comme vous, susceptible d'évoluer. Ne le jugez donc pas trop durement, ce n'est qu'un enfant après tout !
~ Votre histoire ~
Pamona est né environs sept ans après l'union de ses parents, Svend Falk (sorcier de son état) et Alainna Falk née Gerrish (moldue), en milieu de journée, le treize octobre deux mille un, dans un hôpital moldu. Un événement longtemps attendu, et chaleureusement accueilli – malgré les hurlements stridents du nouveau né. Ils vécurent tous les trois dans la bonne humeur pendant cinq ans : l'enfant grandissait et s'épanouissait autant qu'un bambin pouvait le faire, la mère travaillait dans une grande compagnie textile, le père... Eh bah, le père travaillait aussi. Bien qu'il n'ait jamais dit exactement à sa femme quelle était la nature de son travail.
Rassurez-vous, il ne s'agissait pas d'un travail illégal ou dangereux ! Mais il ne pouvait tout bonnement pas expliquer son job à son aimée. Pas après avoir passé douze ans sans jamais lui dire qu'il était sorcier. Mais il y fut contraint bien malgré lui, le jour du cinquième anniversaire d'une certaine tête blonde. Ou plutôt le soir, en fait. La journée s'était bien passée : Pam s'était bien amusé avec ses amis et ses cadeaux (dont une peluche plus grande que lui!), les enfants s'étaient régalés pour le goûter, les quelques adultes avaient discutés ou fait connaissance... Une journée d'anniversaire normale. Une fois les invités congédiés et le ménage fait, pendant que notre blondinet rangeait précautionneusement ses cadeaux, le repas du soir – et surtout le fraisier surprise – fut préparé. Le repas se déroula presque sans soucis.
Presque.
Arrivé au dessert, il se produisit un événement des plus étranges, que Alainna n'aurait jamais remarqué si elle n'avait pas levé les yeux vers son fils à ce moment précis. Ce qu'elle vit ? Une cuillère flotter au niveau du visage du garçonnet, garçonnet à la fois perplexe et amusé. La cuillère tourna sur elle-même. Alainna était sidérée. Et soudain, une main plaqua la cuillère sur la table, tandis qu'une voix, celle de Svend, dit au jeune Pamona de cesser immédiatement. Sans préciser ce qu'il devait cesser. Enfin, le père de famille leva les yeux vers son aimée, espérant qu'elle n'ait rien vu. Eeeeet il comprit à son regard que non seulement elle avait tout vu, mais qu'elle avait compris que son cher et tendre lui cachait quelque chose. Il expliqua donc à sa femme qu'il était sorcier, que la magie existait, ainsi qu'une civilisation parallèle à celle des moldus, et enfin, que petit Bambin Charmant était lui aussi sorcier, vraisemblablement.
Ça faisait beaucoup d'informations à digérer. Et aussi ouverte d'esprit qu'elle l'était, ce fut tout de même trop pour Alianna. Svend le comprit. Certes, ils parvinrent à vivre presque comme avant les trois mois suivants, mais au final, ils finirent par se séparer en bons amis. Le divorce fut signé, et Pamona vécu trois ans chez son père à Oxford, visitant sa mère deux week-end par mois. Pendant ce temps, ses parents s'étaient trouvés divers nouveaux compagnons, jusqu'à ce qu'Alianna se remarie avec Patrick Jones – déjà père de deux grands enfants de 10 et 13 ans – et que Svend ne fréquente Sherryl Swanson – sorcière de son état – pour finisse par ma mettre enceinte après un an de relation. Bref, alors qu'il n'avait pas loin de dix ans, Pamona avait deux mamans, deux papas, deux sœurs et un frère.
Il ne faut cependant pas se leurrer : la séparation de ses parents, puis leurs amourettes et grandes histoires respectives ne laissèrent pas Pamona de marbre. Il le vécu assez mal, au début, et eut bien des difficultés à s'adapter. Cela se fit sentir à l'école primaire moldue où il était inscrit (pour faire plaisir à Maman). Il était un peu plus... Pleurnichard qu'à l'accoutumée. Au point qu'il fut surnommé Fillette, Le Pleurnichard, Le Chialeur, et, suite à un rôle de prince pour la kermesse de l'école, Princesse Geignarde. Mignons, les enfants, n'est-ce pas ? C'est à partir de ces événements que le petit Pamona décida de cacher ses yeux si souvent larmoyants derrière un rideau de cheveux. Il fallut un certain temps avant que sa frange n'atteigne la longueur idéale, mais cela étant fait, il refusa qu'on s'approche de lui dans l'optique de la lui couper ! Parfois, hélas, malgré ses cris, pleurs, tentatives de fuites et supplications, ses parents la raccourcissaient. Enfin, jusqu'à ce qu'ils constatent qu'elle repoussait miraculeusement. Ils finirent par laisser tomber l'idée de montrer les yeux de Pam au reste du monde. Il y eut cependant un accord : la frange ne devait jamais descendre en dessous du nez. Sinon, le petit finirait tondu. Bref.
L'été précédant ses onze ans, alors qu'il était en vacance chez sa mère à Cardiff, chez qui la magie ne devait pas être utilisée, une chouette arriva avec une lettre destinée à Pamona. Ce fut Alianna qui la récupéra, et, ayant oublié cette histoire de Poudlard, elle se débarrassa de la lettre en croyant avoir affaire à un canular de mauvais goût. Pamona n'en sut rien, jusqu'à ce que son père vienne le chercher deux jours plus tard. Alors qu'ils mettaient les quelques affaires de Pam dans le coffre de la voiture, une nouvelle chouette vint et, cette fois, donna la lettre au blondinet. Alianna s'écria « encore ? », tandis que Svend (et Sherryl) félicitaient Pam. Il y eut un petit moment de flottement, avant que l'un demande des explications à l'autre. Ceci fait, Alianna s'excusa, bien qu'étant toujours aussi mal-à-l'aise vis-à-vis de la magie, et félicita à son tour son fils.
Le père, la belle-mère, la petite sœur et le fils allèrent ensemble faire les achats nécessaires à la scolarité du blondinet. Livres, coffre, uniforme, chaudron et balance, plumes, réserve de parchemin, baguette... Bien qu'il n'y ait pas eu tant de choses à acheter, il mirent un certain temps à tout rassembler, notamment parce que d'autres familles s'adonnaient au shopping spécial « rentrée à Poudlard ». Pamona refusa cependant d'avoir un animal de compagnie, jugeant préférer la compagnie de ses peluches – qui ne risquent pas de l'attaquer, le griffer, faire leurs besoins n'importe où, ou mourir d'une façon ou d'une autre. Puis l'année scolaire commença. Il fut réparti, et, en cours, resta l'enfant sage, discret et poli - bien que, reconnaissons-le, il fit quelques bêtises (intentionnelles ou non). Il se fit quelques amis, gagna quelques points, et eut des notes relativement moyennes. L'année s'écoula rapidement, sans qu'il n'eut vraiment le temps de s'en rendre compte. L'été revint, et avec lui la lettre comprenant la liste des fournitures de seconde année. Seconde année que Pamona attendait impatiemment, ses peluches sous le bras et sa baguette dans la main.
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