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 Les secrets d'Alizea (Solo, Passé + Présent, +18, violence.)
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MessageSujet: Les secrets d'Alizea (Solo, Passé + Présent, +18, violence.)   Les secrets d'Alizea (Solo, Passé + Présent, +18, violence.) 1387502757-horlogeLun 11 Mai 2015 - 15:06
Au premier abord, la plupart des gens pensent que je suis quelqu'un de tranquille, quelqu'un de bien. Oh, ils ont raison, la plupart du temps. Mais pas toujours. Parfois, il m'arrivait de faire des choses légèrement déplacées... Voire carrément impensables. Je suis bien loin d'être la petite sorcière parfaite que l'on imagine le plus souvent. Si loin, en réalité, que s'en est risible. Bien sûr, je suis sincèrement gentille et prête à rendre service lorsque je le propose. La seule chose dont vous pouvez être sûrs avec moi, c'est que je mens rarement. Pour autant, je ne dis pas toujours toute la vérité... Et c'est là que tout se joue.

Si vous vous attendiez à tomber sur de banals secrets de famille et autres faits indicibles qui pullulent dans la vie de la plupart des sorciers de Sang-Pur, vous vous êtes fourvoyés. Si vous espériez venir ici pour lire une charmante histoire d'oiseaux chantant leur amour de la vie par un riant matin d'été, vous vous êtes trompés d'adresse. Car, ici, nous ne parlerons que de tristesse et de violence. De larmes et de sang. De vie... Et de mort.

Comme beaucoup de sorciers, ou devrais-je plutôt dire d'être humains, je suis quelqu'un de complexe. J'ai deux aspects radicalement différents, deux faces d'une même pièce qui s'attirent et s'opposent dans une danse effrénée, depuis bientôt trois ans. Je n'avais alors jamais rien eu de plus effrayant ou violent à faire que de supporter des conversations interminables avec ma mère, une Sang-Pur intolérante que j'aurai bien imaginée dans le camp des Mangemorts, si elle avait eu l'âge de s'impliquer à l'époque de la Guerre. Jusqu'à mes vingt ans, j'étais réellement aussi bonne et généreuse que le laisse supposer la face que je montre au monde. Mais, un jour, je me suis découvert un autre visage. Et ce jour-là, lors de ma deuxième mission en tant qu'agent du ministère... Tout a basculé. Mais, ce n'était que le premier des événements d'une longue série de mystères et d'horreurs.


Dernière édition par Alizea Prewett le Lun 11 Mai 2015 - 16:45, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les secrets d'Alizea (Solo, Passé + Présent, +18, violence.)   Les secrets d'Alizea (Solo, Passé + Présent, +18, violence.) 1387502757-horlogeLun 11 Mai 2015 - 16:45
8 Septembre 2011.

J'étais euphorique en ce début d'après midi, car on venait de me confier une nouvelle mission en solitaire, la deuxième. Cela ne faisait que deux semaines que je volais de mes propres ailes, sans avoir constamment mon Supérieur sur le dos. Sa confiance en mes capacités était réelle et il n'avait pas hésité longtemps à me donner l'opportunité de prouver ma valeur. La mission avait l'air assez simple, une simple visite chez une plaignante qui disait avoir des preuves accusant son voisin d'animagie illégale. Rien de bien fameux, une simple visite de routine. Je pensais être rentrée pour faire mon rapport vers quatre heures, avant d'avoir droit à mon traditionnel goûter préparé par l'elfe préposée à notre service, Flamby. La petite créature m'avait prise en affection et prenait grand-soin de mon alimentation et de ma santé, plus mon plus grand plaisir.

Je préparai donc mon matériel d'intervention, qui consistait à l'époque en une plume, un parchemin, ma baguette et une petite trousse de secours. Une fois prête, je transplanai jusqu'à Godric's Hollow, un village que je connaissais bien puisque certains des membres de ma famille y vivaient. A deux heures tapantes, je frappai à la porte de la plaignante, une petite vieille vêtue d'une robe de sorcier délavée et d'un par dessus mauve accompagné d'un bonnet den dentelles dans les mêmes teintes. Elle me fit entrer avec un petit sourire et nous passâmes l'heure suivante à relater les faits qu'elle déclarait avoir vus. Après examen de ses déclaration, je la remerciai et décidai d'aller jeter par-moi même un œil à l'habitation du fameux voisin. J'adoptai ma forme animale dans le jardin de l'octogénaire qui nous avait contactés et passai par-dessus la clôture en prenant appui sur les arbustes qu'elle entretenait.

Une fois de l'autre côté, je fus prise d'assaut par les senteurs inhabituelles qui se mélangeaient là. D'apparence tout à fait normale, le jardinet fleuri derrière la maison du suspect puait pourtant l'animal sauvage. Je détectai là un furet et un chien, sans pouvoir déterminer quelle en était la race. Mais il pouvait tout à fait s'agir d'animaux domestique, aussi préférai-je pousse plus loin mon investigation avant de sauter à une quelconque conclusion. Tant pis pour mon goûter, Flamby devrait bien se faire une raison.

C'est avec grand soin que je me concentrai sur la recherche de preuves concrète d'animagie. Il y avait bien par endroits de curieux mélanges d'odeurs qui me laissaient supposer qu'un humain avait succédé à l'un des deux animaux que j'avais senti. Quelques légères effluves de sang m'interpelaient parfois, à des endroits où l'herbe était abîmée ou arrachée. Ils s'étaient probablement battus là. Lorsque ma truffe entra en contact avec une trace de pas qui puait le furet, je me décidai à intervenir. La petite vieille avait très certainement vu juste et je ne pouvais pas laisser ces deux-là en liberté alors qu'ils étaient de toute évidence suffisamment violents pour se battre entre eux.

Je repris forme humaine le temps d'envoyer mon patronus à Wallace, histoire de prévenir où j'étais et de lui expliquer ce que j'avais trouvé. J'avais appris de mes erreurs de jeunesse et faisais rarement un pas en dehors du cadre prévu de mes missions sans l'en avoir informé au préalable. J'ouvris ensuite la porte de derrière d'un alohomora, avant de me changer de nouveau en renarde. Mes sens plus développés que ceux d'un humain me permettraient sans nul doute de réagir rapidement en cas de besoin. J'eus à peine retrouvé mon odorat surdéveloppé que déjà les odeurs de la bâtisse m'agressaient la truffe. Cela sentait pire qu'à l'extérieur et je pouvais discerner de nouvelles créatures, ici.

Je m'introduisis furtivement à l'extérieur et fouillai le rez-de-chaussée, notant au passage les effluves perturbantes qui émanaient de la cave. Je préférai commencer par le reste de la maison, aussi fouillai-je chaque pièce de fond en comble avant de revenir à mon point de départ, poussant la porte qui menait au sous-sol du bout du museau. Aussitôt, mes poils se dressèrent et mes babines se retroussèrent : le parfum du sang et de la décomposition était bien plus fort là que dans tout le reste du bâtiment. Je pris quelques secondes pour informer Wallace de la situation avant de me décider à entrer dans la cave, sous ma forme humaine. Baguette dressée, j'illuminai les lieux d'un lumos silencieux.

L'endroit avait été emménagé en une sorte de salle d'entraînement au combat, des sacs de sable éventrés gisaient sur le sol et une espèce de terrain en terre battue occupait le centre de la pièce, parsemé de traces de rougeâtres. Ce que je vis alors me glaça le sang. Au beau milieu de ce ring improvisé, un cadavre pourrissant achevait d'être dévoré par une horde d'insectes grouillants accompagnés de quelques rats longs comme mon avant-bras. Je portai la main à mon visage pour essayer de m'épargner le pire de l'horreur et m'approchai de la dépouille pour voir si je pourrais trouver quoi que ce soit en lien avec sa mort sur la scène du crime.

Mais alors que j'inspectais la... Chose (je me refusais à le considérer comme un être humain), j'entendis une porte claquer à l'étage. J'avais pourtant sécurisé l'accès avant de descendre... Ce qui impliquait qu'il s'agissait d'un sorcier capable de contrer mes sortilèges. Fâcheuse situation. Je me hâtai de déposer mon odeur partout afin de brouiller les pistes puis me cachai dans un recoin, entre l'un des sacs éventrés et un tonneau rempli de sable. Plusieurs personnes se déplaçaient au rez-de-chaussée et je les entendais presque marmonner entre eux. Deux ou trois hommes. Sans perdre de temps, j'utilisai de nouveau mon patronus pour réclamer une aide d'urgence au ministère. Celui-ci s'exécuta aussitôt, mais j'avais bien peur qu'il soit trop tard lorsque les renforts arriveraient.

Et la suite sembla me donner raison : après un rapide examen de l'habitation, les trois gaillards ouvrirent la porte de la cave pour venir l'inspecter à son tour. L'un d'eux, qui semblait être le chef du groupe, s'exclama d'une voix gutturale :

"Cette petite salope ne doit pas être loin. Continuez à la chercher dehors, elle s'est peut être déjà enfuie."

Les deux autres obéirent sans tarder tandis qu'il descendait les escaliers d'un pas lourd, sa baguette prête à l'action. Ils avaient dû sentir mon odeur et se doutaient probablement de ce qu'il s'était passé en leur absence. Je crois silencieusement les doigts en espérant que le grand gaillard ne me repère pas et le laissai me chercher en vain, ne m'autorisant qu'à respirer très, très lentement.

Mais l'homme avait décidé de ne rien laisser au hasard. Et lorsqu'il dirigea sa baguette dans ma direction, je ne perdis pas une seconde et lui lançai un stupéfix bien senti. Il l'évita d'un pas de côté, un sourire carnassier sur le visage :

"C'est donc là qu'elle se planquait, la petite souris. Tu sais que c'est risqué de venir fouiner chez les gens ?"

Je ne perdis pas de temps à écouter ses salades et lui jetai un sortilège de jambencoton, qu'il évita en se changeant en un énorme dogue allemand. Par la barbe de Merlin, voilà qui n'arrangeait pas mes affaires ! Je pris à mon tour ma forme animale et profitai de mon agilité supérieure pour éviter ses assauts. Il était au moins cinq fois plus grand que moi et je ne parle même pas de son poids. Si jamais il arrivait à m'attraper, il me tuerait probablement sans la moindre hésitation.  

Je n'arriverai jamais à m'en sortir si je réfléchissais trop... Aussi laissai-je mon instinct prendre le dessus. J'esquivais sans trop de mal les attaques de mon adversaire, jusqu'à ce qu'un autre se joigne au combat. J'avais été tellement prise par ce qu'il se passait que je ne l'avais même pas vu arriver. Le fameux furet que j'avais senti dehors se jeta sur mon flanc, tentant de me prendre par revers tandis que le dogue me tenait en respect. Je n'eus même pas le temps de réfléchir à ce qu'il convenait de faire : j'étais déjà fatiguée d'avoir dû me défendre du chien et je ne tiendrais pas longtemps contre eux deux. Alors, je me résolus à agir comme le ferait tout renard agressé de la sorte par un furet : j'interceptai son bond en happant sa tête entre mes crocs... Et lui brisai le crâne de toute la puissance de ma mâchoire.

Je n'avais pas vraiment réalisé la violence de mon acte avant que l'animal de reprenne forme humaine, la tête écrasée et les chairs déchiquetés. Mort. J'avais tué un homme, mais je n'eus pas le temps de m'appesantir sur la question que le troisième gaillard surgissait des escaliers, hurlant à pleins poumons :

"Cette pute a prévenu le ministère ! Ils arrivent avec un putain d'ours et... Merde, elle a tué Jim ! Putain Steve reprends-toi faut qu'on se casse tout de suite !"

Ledit Steve ignora résolument son comparse, qui finit par prendre la fuite seul. Quant à lui, le dogue allemand me fixait avec une telle fureur que je ne pus m'empêcher de grogner férocement. Sans plus de préambule, il se remit à me harceler d'attaques plus vicieuses qu'auparavant, me repoussant jusqu'au mur du fond. Je pouvais lire sa soif de vengeance dans son regard et cela me fit trembler d'effroi. Du bruit à l'étage me fit espérer que Wallace avait fini par arriver et je levai les yeux vers la porte, l'espace d'une seconde. Ce fut suffisant pour que mon adversaire me bondisse dessus, tous crocs dehors, prêt à me déchiqueter. J'évitai le pire en m'écartant de côté et il ne parvint qu'à mordre férocement mon antérieur droit.

La douleur fulgurante me fit émettre un jappement aigu et je réagis au quart de tour : son insistance sur ma chair me laissait une ouverture inespérée et je bondis à sa gorge, lui laissant une bouchée de viande dans la bouche. Je savais parfaitement où je devais attaquer et je ne m'y trompai pas, tranchant de mes crocs la chair tendre de sa jugulaire, traversant ses muscles comme s'il s'agissait de beurre, jusqu'à sectionner l'artère. Le sang gicla sur ma gueule tandis que le gros chien était pris de spasmes et se débattait pour me faire lâcher prise. Mais je tins bon, le sang coulant dans ma gorge à gros bouillons.

Alors que la porte menant à l'étage s'ouvrait sur Wallace, le dogue finit par trépasser et je restai là quelques instants, les dents profondément enfoncées dans sa chair. La pression de son sang s'était calmée et j'abandonnai ma prise, reculant de quelques pas alors qu'il reprenait forme humaine. J'étais choquée, hébétée par ce que je venais de faire. Je venais de tuer deux hommes, à la simple force de mes mâchoires ! Je fus soudain prise d'une indicible crise de panique et me mis à gémir, essayant de retirer tout le sang qui maculait mon pelage en me frottant sur le sol. En vain.

Lentement, Wallace s'approcha de moi sous sa forme humaine, paumes en avant. Une lueur inquiète brillait dans son regard lorsqu'il s'adressa à moi :

"C'est fini, Lizzie. Tu es en sécurité. Calmes-toi."

Mais j'en étais incapable. J'avais tué, voyons ! J'avais pris la vie d'un autre être humain ! Je me mis à hurler comme le font les renards à l'agonie, d'un cri poignant de désespoir.

"Allons, Lizzie, reprends-toi. Tu peux le faire, j'en suis convaincu. Redeviens toi-même."

Moi-même ? Mais qu'étais-je, au juste ? La saveur du sang dans ma bouche me laissait à penser que je n'étais qu'une bête, une créature violente et capable d'actes terrifiants, si on lui en laissait la possibilité. Un grognement sourd s'éleva de ma poitrine. Je m'ébrouai avec rage, envoyant voler des dizaines de gouttelettes rouge vif. J'étais impardonnable. Alors, Wallace s'assit devant moi pendant que les aurors qui l'avaient accompagné s'occupaient des corps. Prenaient des notes, des photos. Accumulaient des preuves. Mais contre qui, au juste ? De sa voix rassurante, stable comme un rocher auquel m'accrocher dans le tumulte de mon esprit, Wallace se mit à me parler.

Il m'expliqua que ce genre de situations était malheureusement assez courante. Me parlait des hommes qu'il avait tué. Me racontait sa première fois, à lui aussi, dans des circonstances tristement semblables. Et à mesure qu'il parlait, je retrouvais peu à peu mes esprits. Le grognement se tut, puis les tremblements. Et alors qu'il me disait combien il était désolé que j'aie eu à vivre ça, je parvins à retrouver forme humaine.

Je n'avais pas besoin de le voir pour sentir que mon visage était couvert d'hémoglobine. Je devais avoir l'air d'une lycanthrope à peine sortie de crise, à cet instant. Mais Wallace fit abstraction de tout cela et se leva pour venir me prendre dans ses bras. Ce simple geste me toucha plus que je ne l'aurais cru, et je me mis à pleurer. Je pleurai de désespoir, de honte et de haine tout à la fois. Je pleurai longtemps et lorsque les larmes se tarirent, mon supérieur me ramena au ministère, dissimulant mon état par magie.

Ce soir-là, je fus dorlotée et choyée par le seul homme qui pouvait comprendre ma détresse. Ce soir-là, un lien puissant se tissa entre nous deux. Nous parlâmes jusqu'à tard dans la nuit. Jusqu'au moment où l'un des Aurors qui étaient venus à mon secours frappe doucement à la porte. Il venait nous faire part de leurs découvertes et, pour la première fois, je conçus une réelle haine pour un autre être humain. Car les hommes que j'avais tués n'avaient pas seulement tué la personne que j'avais retrouvée dans la cave. Ils l'avaient torturée et violée. Une femme de vingt cinq ans à peine, et qui attendait un enfant. Le pire, c'est qu'ils n'en étaient pas à leur première victime et que plusieurs autres cadavres avaient été retrouvés, enterrés dans le jardin. Paraissait-il qu'ils faisaient partie d'un club très sélect qui avait pour habitude d'organiser des combats d'animagus... Charmant.

Cette nuit-là, je me promis à moi-même d'empêcher que quiconque soit de nouveau victime de l'un de ces monstres d'animagus illégaux.

Cette nuit-là, je me résolus à utiliser des moyens plus expéditifs pour faire mon travail, si nécessaire.

Cette nuit-là, j'acceptai l'idée de devenir un monstre, pour le bien du monde.
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