~ Informations de base ~ ♦ Nom(s) : Void ♦ Prénom(s) : Azalem ♦ Âge : 16 ans ♦ Surnom(s) : Aza, Zaza ♦ Sexe : Fille ♦ Pays d'origine : Angleterre ♦ Statut : Élève ♦ Classe : 6ème année ♦ Familier : Une toute petite chouette nommée Kistle ♦ Baguette : Pin, plume de phénix, 34,2 cm, plutôt flexible ♦ Orientation sexuelle : Bi, elle ne sait pas et s'en fiche un peu ♦ Particularités : Aucune ♦ Personnage sur l'avatar : C'est une photo de Pinterest de ce que j'ai vu et malgré mes recherches, j'ai pas trouvé qui c'était :/ ~ Descriptions ~ ♦ Physique : Allongée dans l'herbe, les yeux clos, Azalem révassait. Ses courts cheveux noirs déposaient leurs boucles soyeuses sur son front. Elle les balaya d'un geste rapide. Un bruit attirant son attention, elle ouvrit les yeux. Des yeux en amande aux iris si sombres qu'ils paraissaient se confondre avec ses pupilles. Cela avait tendance à fasciner les gens. Elle scruta les alentours sans rien voir et se rallongea. Le soleil éclairait timidement sa peau pâle. Ses bras fins et musclés reposant négligemment sur son ventre plat. Elle était fine, presque maigre et on pouvait voir ses côtes sous sa peau quand elle retirait ses vêtements. Ce qui arrivait très rarement. Suite à un accident malheureux, la jeune fille avait une énorme brûlure qui s'étendait de sa hanche gauche au haut de sa cuisse, remontant même grignoter le bas de son ventre. La peau était ici violacée et ravagée. Cette blessure la répugnait au plus haut point et jetait dans son coeur un profond malaise. Elle se redressa finalement et ramassa sa veste et sa cravate aux couleurs de sa maison. Elle brossa rapidement son pantalon, et partit d'un bon pas. Elle n'était pas spécialement grande mais sa silhouette semblait à l'exacte limite entre celle d'une fille et celle d'un garçon, donnant souvent lieu à des quiproquos gênants. Sa démarche était rapide, décidée. Un sourire éclairait ses lèvres charnues et un rayon de soleil joueur vint accrocher son piercing. Un sourire doux et apaisé. ♦ Psychologique : Azalem était une rêveuse. Elle passait des heures le yeux dans le vague à réfléchir à tout et n'importe quoi. Tout était prétexte à s'évader. Il n'était pas rare, en pleine discussion, de la voir décrocher et se perdre dans les méandres de son esprit. Elle émergeait quelques temps plus tard, un peu perdue, cherchant tant bien que mal à rattraper le fil de la conversation. C'était une jeune fille très débrouillarde. Très jeune, elle avait dû apprendre à se gérer toute seule. Cela avait laissé des traces dans son comportement et elle avait toujours solution à tout, mettant ses multiples astuces au service des autres. Elle aimait beaucoup aider les gens mais ne supportait pas qu'on lui rende la pareille. Elle estimait ne rien devoir à personne et ne voulait certainement pas que cela change. Et quand elle avait une idée en tête, il était difficile de lui faire changer d'avis. Elle n'était pas spécialement prompte à la colère mais sa franchise était souvent désarmante. Si elle avait quelque chose à dire, elle le dirait. Sauf peut être si cela concernait ses histoires de coeur ... Elle avait beaucoup de mal à gérer ce genre de sentiments et perdaient souvent ses moyens, balbutiant et rougissant. Elle suivait les cours avec plus ou moins d'attention, se reposant beaucoup sur sa mémoire auditive. Elle ne suivait assidûment que ce qui l'intéressait, à savoir, la potion et l'étude des objets magiques. Quant au reste, c'était selon son humeur et son envie. Quand elle n'écoutait pas, elle se calait sur sa chaise et observait les gens, ce qui l'entourait. Elle passait des heures ainsi, à scruter autour d'elle pour comprendre, apprendre, retenir. Elle était fascinée par la beauté du monde et n'en avait jamais assez de s'en remplir la tête. ~ Votre histoire ~ Le père et la mère d'Azalem se sont rencontrés par hasard. Ils étaient très jeunes et croquaient la vie à pleines dents. Ils ont commencé une relation plutôt houleuse. Carlie McLean, la mère d'Azalem, était une sorcière plutôt volage et cela rendait Ralph Void, son petit ami et futur père de sa fille, complètement fou. Leurs disputes régulières n'empêcha pas la naissance de ce petit bébé au regard scrutateur. Sa naissance fut comme une surprise, un cadeau qui lia plus encore Ralph et Carlie. Tout semblait aller pour le mieux. Azalem grandissait doucement, entourée de ses parents. Cela dura un an, deux ans ... puis Carlie finit par se lasser de cette vie routinière et recommença ses aventures d'un soir. Ralph se doutait de quelque chose, il ne cessait de la questionner. Les tensions entre eux ne cessèrent d'augmenter, jusqu'à ce jour. Azalem avait sept ans, peut être plus. Elle se terrait chaque soir dans sa chambre pour ne pas entendre ses parents crier, et elle rêvait, rêvait rêvait . Un soir, après une violente dispute entre ses parents, le silence était brusquement revenu dans le petit appartement londonien. Azalem était timidement sortie et avait trouvé la porte grande ouverte. Elle s'était timidement avancée vers la fenêtre pour voir dans la rue. Elle n'avait pas eu le temps d'y arriver. Des cris de colère arrivaient depuis la rue. Il y eu un bruit de frein et un choc. Un hurlement. Peur, horreur, douleur. Azalem était retournée dans sa chambre, dans ses rêves. Ralph était devenu paraplégique. Ses jambes refusaient de lui obéir. Il était devenu aigri et renfermé sur lui-même. Carlie, rongée par le remord avait fini par partir, sans un regatd pour sa fille qui ne comprenait pas. Ralph avait alors plongé dans un mutisme résigné. Il ne s'occupait plus de sa fille qui apprit tant bien que mal à se débrouiller. Ils vivottaient sur le maigre salaire que Ralph gagnait en triant du courrier pour une poste moldue. Azalem grandit et sa lettre pour Poudlard finit par arriver. Quand elle la montra à son père, surexcitée, celui-ci eut un semblant de sourire. Il lui donna les instructions pour aller au Chemin de traverse en lui fourrant dans les mains un porte-monnaie qu'il remplissait régulièrement en l'attente de ce jour. Cela mit du baume au coeur de la jeune fille, son père ne l'avait jamais vraiment oubliée. Elle acheta tout le nécessaire, le moins cher possible afin de pouvoir acheter une chouette. Une petite boule de plumes irisées appelée Kistle. Elle appréhendait un peu son départ, craignant que Ralph ne parviennent pas à s'occuper de lui tout seul. Il l'avait rassurée d'un geste bourru et était retourné à son tri. Sa premiere année à Poudlard fut la plus difficile, elle ne cessa d'épuiser Kistle pour prendre des nouvelles de son père. Celui-ci, livré à lui-même avait décidé de se reprendre quelque peu en main. Et après des premiers mois tendus pour la jeune fille, elle finit par se dérider et se lia aux gens de sa maison. Elle grandit toujours plus, je rentrant que l'été, toujours plus surprise par les progrès de son père qui avait nettement amélioré son quotidien. Il parlait toujours aussi peu mais cela convenait à Azalem, peu causante aussi. Les années suivantes lui firent découvrir ce sentiment étrange et palpitant qu'est l'amour. Mais elle ne se sentait jamais vraiment bien et ses quelques relations ne durèrent jamais bien longtemps, qu'elles soient masculines ou féminines. Elle avait également découvert avec plaisir, les joies des escapades nocturnes dans le parc, elle qui avait toujours vécu en ville. Ses amis la comblaient, son pere revivait, elle se sentait bien. À sa place. ~ Le Moi réel (Facultatif) ~ ♦ Pseudo : Kachouk la Voleuse ♦ Prénom : Anouk ♦ Âge : 16 ans ♦ Comment avez vous connu le forum? Je cherchais un forum un peu plus adulte que celui sur lequel j'étais déjà, et j'avais une idée de personnage qui me trottait dans la tête depuis bien trop longtemps ♦ Aimez vous le design? Si non, pourquoi : C'est trop beau *-* et on peut changer les couleurs, rien à dire :x ♦ Code du règlement :

♫ Bonjour, Bonjour♫

Soit la bienvenue sur le forum. Après avoir fouillé dans ta tête, il y a six ans déjà, j'ai vu des rêves qui dépassaient l'entendement. C'est pourquoi je t'ai placé dans la maison des rêveurs, de ceux qui imaginent le mieux demain (et que le bleu te va bien au teint!) Amuses-toi bien avec nous. Que tes rêves te mènent jusqu'au bout du monde (ou peut-être juste jusqu'à la salle commune des Serdaigles).

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Bienvenue parmi nous, encore une fois!