♦ Nom(s) : Lovegood
♦ Prénom(s) : Mia
♦  Age : 42 ans née le 15 Février
♦ Surnom(s) :(facultatif)
♦ Sexe : Féminin
♦ Pays d'origine : Angleterre

♦ Statut : Professeur d’astronomie
♦ Classe : Non mais sérieusement qui a écrit ce questionnaire ? Je suis une professeure pas un élève !
♦ Familier : Mon magnifique ratounet !! Je l’ai appelé Galileo comme le grand astrophysicien italien Moldu ! Galileo est extrêmement curieux et paradoxalement très peureux. Au moindre bruit, il se réfugie dans ma poche ne laissant dépasser que son museau et ses petites moustaches.
♦ Baguette : Chêne rouge, crin de licorne baguette très souple de 22 cm.

♦ Orientation sexuelle : Pan-sexuelle, mais je suis actuellement marié avec un moldu donc en ce moment on peut dire que je suis une pure hétérosexuelle.
♦ Particularités : A vrai dire un peu tout chez moi mais le plus voyant est certainement mon tatouage le long de l’avant-bras gauche la fameuse citation de l’éminent philosophe Anaxagore:  « Ce qui est visible ouvre nos regards sur l'invisible »

♦ Personnage sur l'avatar : Gwyneth Kate Paltrow



♦ Physique : Comment me décrire objectivement ? Comme dirais les moldus ; belle blonde à forte poitrine, cherche relation sérieuse et sans prise de tête, hum… redescendons un peu sur terre.

Je fais 1m55 sur la pointe des pieds (j’ai jamais su ma taille réel, bizarrement à chaque fois que quelqu’un me mesure je triche pour gratter quelques centimètres, c’est très important pour des gens de petite taille, ne me jugez pas !). J’ai une peau d’un blanc fantomatique et mes cheveux tirent plus sur l’argenté que le blond (ce qui d’ailleurs rappelle la crinière d’une licorne et c’est bien la seule chose que j’ai en commun avec elle, pour la grâce et l’élégance je suis plus à l’opposé). Ma splendide chevelure donc s’entêtent à rester aussi raide que Cecil lorsqu’il est détendu.

J’ai tendance à porter des vêtements colorés, et je pense que le mot  « coloré » est un euphémisme pour qualifier la gerbe d’arc en ciel qui jaillit à chaque seconde sur vos yeux lorsque vous me regardez. Ah, et j’adore les clochettes, j’adore le doux son qu’elles produisent lorsqu’elles s’agitent, pour vos oreilles ça doit certainement être une cacophonie mais moi je trouve ça presque féérique et je me fous éperdument de ce que vous en pensez.
Ai-je oublié de mentionner que mes yeux sont tels le ciel parsemé de quelques nuages duveteux ? (Belle comparaison faudra que je me la note quelque part celle-là). Bon vous avez compris quoi, j’ai les yeux bleus. J’en ai beaucoup trop dit, question suivante !



♦ Psychologique : Je suis une personne parfaitement équilibrée, pragmatique et ordonnée. Vous y avez cru ? Aller, avouez !  Pendant une demi-seconde vous y avez cru ! Non ? Peut-être quelques millisecondes alors ? Non toujours pas ? Bon j’avoue, en réalité je suis quelqu’un de très.. comment dire.. ? Brouillon ? Comme on me le dit souvent, « Mia, t’es très intelligente hein je n’en doute pas une seconde, mais tu pars dans tous les sens, c’est impossible de te suivre ». Bon alors je ne suis pas du tout d’accord, je suis peut-être un peu distraite par moment mais j’arrive souvent à être claire !! Ce n’est pas crédible ? Je sais… Mais je vous jure mes élèves comprennent tout ce que je dis ! Enfin tant que je ne me suis pas lancée dans un long aparté, tout semble clair, enfin je crois ? Où en étais-je déjà ?... Ah oui ma "psychologie".

Il paraîtrait d’ailleurs que j’ai un petit problème avec la hiérarchie. Personnellement je trouve que ma réputation a été un peu exagérée, disons juste que ne comprends pas pourquoi on devrait dire Monsieur Braginsky et pas Ivan. Ce n’est pas son prénom? Si hein ! Il m’appelle bien Mia non ?

Sinon je tenais à dire que j’adore enseigner, partager toute cette connaissance et voir de petites étoiles apparaître dans les yeux d’un élève qui est émerveillé par la connaissance que je lui enseigne, c’est tout bonnement la chose la plus merveilleuse au monde. Belle mise en abyme le petit clin d’œil à l’astronomie vous ne trouvez pas? Vous avez l’impression que je parle sans jamais m’arrêter hein ? Que je suis intarissable ? Et bien détrompez-vous, sachez que lorsque la situation l’impose, je sais aussi me taire et écouter. Il me faut quand même une qualité après tout !

Si vous vous demander pourquoi j’ai choisi l’astronomie comme matière et bien je vous direz que .. où est encore passée ma baguette ? Pourquoi ce machin est-il si petit ? Je le perds sans arrêt… « Accio !» Zut, je l’ai dit tout haut, et puis c’est ma baguette que je cherche quel idiote je fais ! Revenons à nos moutons (j’adore cette expression moldue ) j’ai toujours aimé l’astronomie, j’aime comprendre ce qui est impossible et voir ce qui est invisible. Passer des heures à scruter le ciel étoilé, être seule face à l’univers tout entier et sentir à quel point nous sommes petits. Il y a tellement de choses grandioses cachées derrière chaque étoile, derrière chaque nébuleuse, un monde merveilleusement inconnu nous attend et nous réserve de nombreuses surprises. Chaque jour j’en apprends un peu plus sur l’univers et sur notre monde. Croyez-le ou non, il y a encore tant de choses à découvrir que tout une vie ne suffirait pas à comprendre plus de 1% de ce qui existe. N’est-ce pas ça la beauté de cette discipline ? Savoir que tout est à découvrir, alors qu’attendez-vous pour venir dans ma classe ? Entrez, la porte est toujours ouverte, asseyez-vous, écoutez, et laisser vous porter par toutes ces choses extraordinaires que je vous raconterai sur notre si mystérieux univers.



Par où commencer ?... Tout d’abord  je suis la cousine de Xenophilius Lovegood mais la seule chose qui m’unit à cet homme ce sont nos liens familiaux, nos pères se sont toujours détestés. Mes parents, Gregorius Lovegood et Lycia Addams étaient de grands sorciers et attendaient que leur fille, c’est-à-dire moi, les suive sur le chemin de l’excellence qu’ils avaient tous deux tracé. Mais le destin avait décidé d’être farceur car à l’aube de ma neuvième année, aucune tasse ne s’était mise à léviter par magie ni aucune lumière ne s’était allumée miraculeusement. Tout laisser supposer que j’étais la fille cracmole de deux éminents sorciers. La déception et le mépris prirent la place de l’amour et la tendresse qu’ils avaient à mon égard. J’étais la honte de la famille et il fallait absolument me cacher pour que personne ne sache que je ne faisais pas partie de ce monde.

Je fus donc confiée à ma grande tante Virginia et passais toutes mes journées dans son grenier qu’elle avait aménagé en chambre. J’étais enfermée et ne pouvais en sortir sous aucun prétexte, j’avais tout bonnement disparue, je n’existais plus, je n’étais plus personne. Heureusement ma grande tante, que j’appelais affectueusement Grammy, s’occupait bien de moi et veillait à ce que je ne manque de rien. J’avais un terrain de jeu infini dans ce grenier et passais le plus clair de mon temps à explorer tous les secrets qui y était cachés. Quelques semaines après avoir emménagé dans ma chambre poussiéreuse je fis une découverte qui changea ma vie à jamais. Caché sous d’innombrables draps, un immense coffre trônait dans le coin de ma chambre de fortune. Il renfermait une lunette astronomique signée par un certain Galilée, un immense livre intitulé « le messager des étoiles », une carte des étoiles et un petit carnet qui semblait être son journal.

A partir de ce jour, je me pris de passion pour ce savant si particulier. Il passait des journées entières à observer la lune et en dessiner chaque cratère. Je fis de même, j’appris à me servir de cette magnifique invention qu’était la lunette astronomique et passais du coucher du soleil à l’aube à scruter chaque portion de ciel. La nuit était devenue mes journées et le jour mes nuits.

Environ six mois plus tard alors que j’observais la ronde Saturne, Grammy apparut, elle venait m’apporter le diner. Ce soir là, je l’entendis crier de surprise, je me retournai vers elle et suivit ce qu’elle pointait du doigt. Ma carte du ciel lévitait au dessus de mes genoux, mes deux mains étant posées sur la lunette. La carte retomba aussitôt sur mes jambes comme si rien de tout ça ne s’était produit. Depuis combien de temps faisais-je ça sans même m’en rendre compte ?  Je n’en avais aucune idée, mais ce soir-là je pris conscience que je n’étais plus une cracmole, j’étais bel et bien une sorcière. Enfin, j’allais pouvoir devenir quelqu’un !  

Le lendemain je retournai chez mes parents, ils m’accueillirent comme si je revenais de quelques semaines de vacances, comme si rien de tout ça ne s’était passé. Toute trace de dégoût et de honte avaient disparu, c’était comme si toute l’année chez Grammy n’avait été qu’un long rêve. Mais moi je n’oubliai pas, j’avais été abandonnée, oubliée, effacée pendant une année et il suffisait que je fasse léviter un bout de papier pour que je redevienne leur fille adorée ? Non c’était bien trop facile, cependant j’étais bien trop jeune et trop heureuse de revoir mes parents pour leur en vouloir. En échange je nourris une rancœur qui ne cessa de grandir année après année. Lors de ma onzième année, je fus envoyée à Poudlard comme tout bon sorcier.

Ma première année fut l’une des meilleures, le Choixpeau Magique m’avait désigné Serdaigle ; la maison des sages et des érudits et je me sentais parfaitement dans mon élément.  J’avais soif d’apprendre, je voulais tout savoir, tout connaître et tout maîtriser. Je voulais prouver à mes parents qu’ils avaient eu tort de me sous-estimer. Je passais le plus clair de mon temps à lire dans l’immense bibliothèque de Poudlard. Je ne loupais sous aucun prétexte le cours du Mercredi soir ; le cours d’astronomie. J’avais lu et relu le livre de Galilée si bien que je pouvais en réciter chaque ligne les yeux fermés. Mais ce cours m’offrait tant et plus de connaissance. J’étais la meilleure élève de Poudlard en astronomie et le resta les années qui suivirent. A l’époque j’avais déjà la réputation d’avoir des problèmes avec la hiérarchie. Ce statut de “rebelle” me rendait assez populaire mais je ne cherchais pas à être la fille la plus cool de Poudlard et préférais ignorer les demandes d’amitié qui ne cessait d’affluer. Au lieu de rebuter, mon comportement attisa les curiosités et tout le monde voulait devenir mon ami seulement pour être l’ami de Mia la rebelle. Autant vous dire que je n’acceptais aucune demande car celles-ci étaient motivées par un but superficiel dont je me désintéressais totalement.

Je passais donc la plupart de mon temps à la bibliothèque entourée de plein de personnes de mon âge qui me tournaient autour tel un essaim de mouches dont je n’arrivais pas à me débarrasser. Par moment j’avais envie d’échanger ma place avec le petit première année assis quelques tables plus loin. J’avais cru entendre qu’il s’appelait Cecil Vernet. Une solide amitié naquit entre nous l’année suivante.

Je réussis mes buses et reçus sans étonnement un O en Astronomie.
Les deux années suivantes furent bien plus difficiles et furent ponctuées par quelques petits amourettes futiles.

Après avoir réussi mes aspics, je m’inscrivis l’année suivante à la faculté de science de Londres afin d’apprendre l’astronomie du point de vue des moldus cette fois-ci. Leur approche était complètement différente et très enrichissante. C’est lors de ma deuxième année que je rencontra mon moldu de mari. Il s’appelle Richard. C’était un troisième année, rédacteur du journal “Wizard and magics” qui parlait de certains phénomènes paranormaux, affirmant avec ferveur que la plupart des phénomènes étranges que nous observons sont dûs à des actes de sorcellerie. Je tombai par hasard sur un l’un de ses journaux un matin en buvant mon chocolat chaud chantilly.  Amusée en premier lieu, je lus par curiosité. Les articles défilaient et l’intérêt prit place à l’amusement. Chaque article était traité méticuleusement, l’écriture était agréable, le contenu clair et précis. Il s’approchait de la vérité cet illuminé! J’étais fascinée par sa façon de voir les choses.

Quelques années après la fin de mes études, nous nous mariâmes.
Je devins professeur de mécanique quantique à la faculté de Londres et mon mari professeur de physique-chimie dans un petit lycée à quelques kilomètres.

Cependant, après vingt ans passés à donner des cours à des moldus et à faire des recherches dans un laboratoire lui aussi, moldu, j’avais l’impression d’avoir fais le tour de ce que je pouvais découvrir sans magie.. J’avais besoin de changement, je décidai donc à l’aube de ma quarante-et-unième année de postuler à Poudlard en tant que professeur d’astronomie pour redécouvrir cette matière avec les yeux d’une sorcière. Le jour de mes quarante-deux ans, une chouette vint se poser avec toute la grâce d’un pachyderme astigmate sur mon gâteau d’anniversaire. Un message trempé de crème était accroché à sa patte, j’étais acceptée à Poudlard en tant que professeur d’astronomie.

Et voilà donc un court mais ma foi assez bon résumé de ma vie, ne me demande plus jamais d’écrire autant de trucs pour une fiche que seul toi mon cher Ivan, lira. Je te jure que la prochaine fois que tu me demande de remplir un de tes stupides questionnaires, j’écrirais que je suis une licorne à trois queues et que je cherche une relation sérieuse avec un centaure bien gaulé.


♦ Pseudo : Ness mais pour le fofo Mia c’est très bien
♦ Prénom : Inès
♦  ge : 20
♦ Comment avez vous connu le forum? Grâce à Cecil Vernet et Nim Landers
♦ Aimez vous le design? Si non, pourquoi : Il manque un son à la CB dès que quelqu’un poste un message ;D Mais sinon c’est un des fofo les plus clairs que je connaisse
♦ Code du règlement :

Officiellement bienvenue Mia ! Je kiff ta fiche, hâte de RP avec toi !

Tu sais déjà ce que je pense de tout ça! Bravo et hâte de te voir en RP! Bienvenue chère collègue!