L'Édito

Un tout nouveau Daily Hogwart pour accompagner la MAJ

Ça a du vous frapper absolument de suite. Le Daily Hogwart a complètement changé de look. Et quand vous allez le feuilleter, vous remarquerez certainement d'autres changements encore. Et vous vous demanderez alors "Mais pourquoi elle a voulu tout changer ?" Mais je vous rassure de suite. Vous retrouverez les rubriques du Daily Hogwarts que vous avez aimé ! Certains d'entre vous verrons même enfin leur contribution publiée. Et c'est pour ne pas vous perdre que je vous propose de faire un petit tour avec moi.

Je me suis permise de diviser le journal en deux parties. Rassurez vous, elles seront clairement distinctes, pas de risque de s'emmêler les pinceaux. La première partie est pour vous, les joueurs. Une délicieuse recette, quelques nouvelles, des concours et des events, des astuces, des articles et des informations sur l'univers d'Harry Potter irl. On pourra même mettre en avant un poste vacant ou un prédéfini. Un coin détente, simplement.

Puis viendra une seconde partie. Le Daily Hogwarts tel que pourront le lire vos chers et tendres

personnages, rédigé par l'ensemble du club journal de Poudlard. Vous y retrouverez notamment la rubrique élucubrations des personnages, ou encore, les conseils du Docteur Love, les rumeurs qui circulent à Poudlard, et quelques articles sur des événements, des personnages, et autre. Si on arrive à le faire, des interview de certains d'entre vous pourraient même voire venir le jour. Pour reconnaître ces articles, facile.

Ce premier nouveau Daily Hogwarts contient principalement un contenu qui aurait du paraître il y a déjà quelques temps. Je ne voulais pas laisser à l'abandon tout ceci ! Mais vous pouvez dès à présent envoyer de nouvelles contributions au Daily Hogwarts. Le rythme des parutions du journal tentera de se caler sur le rythme des périodes. Pourquoi je dis tenter ? Parce que tout dépend beaucoup de ce qu'on aura reçu, et de la disponibilité des rédacteurs.

Je vous souhaite une excellente lecture, n'hésitez pas à nous dire ce que vous en pensez, et surtout, n'hésitez pas à envoyer des contributions !

~ Maku

Au Buffet du Feu Follet

Bien le bonjour, mes amis !

J'ai l'honneur et le plaisir de vous proposer une nouvelle recette gourmande ! Cette fois-ci, il ne s'agit pas d'un dessert, mais d'un plat. Enfin, de croquettes gourmandes (faites avec des patates, du fromage et du poireau), s'alliant aisément avec des salades, ou se déguste en tant que plats avec les légumes ou viandes de votre choix ! Cette recette, donc, est celle des Saucisses de Glamorgan.

J'ai découvert cette petite merveille l'an dernier, dans le cadre d'un exposé sur la culture Galloise. Pour marquer le coup, et parce que notre groupe était composé de personnes aimant manger de la bonne cuisine (et aussi parce que le cours durant lequel on a présenté notre exposé avait lieu vers 13-14 heures, temps propice à la gourmandise), nous avons décidé de préparer une des spécialités galloises. Nous avions testé une autre recette, tout aussi délicieuse, mais je vous en parlerai peut-être une autre fois.

Quoi qu'il en soit, ces petites croquettes furent vivement

appréciées par nos camarades de classe, en plus de nos estomacs. C'est une recette très simple, bien que prenant un peu de temps d'un point de vue de la préparation, à la portée de tous ! (la preuve, depuis cet exposé, j'ai refait à deux reprises ces merveilles, sans les louper ! Applaudissez-moiiiii ! Bon, ok, j'arrête.)

Bref, voici donc la recette des Saucisses de Glamorgan !

Pour 4 personnes, il vous faudra :

  • 100g de pomme de terre, pelée (environ 1)
  • Sel et poivre
  • 100g de chapelure (d'la marque Tipiak pour moi)
  • 150g de fromage cheddar râpé (mais le gouda va bien avec aussi)
  • 1 petit blanc de poireau haché finement
  • 1 œuf, plus 2 jaunes
  • 3c. à soupe de farine tout usage
  • Huile à friture

Passons désormais à la préparation !

A manger chaud, mais pas trop quand même !
  • Cuire la patate dans de l'eau bouillante salée, jusqu'à ce qu'elle soit assez tendre pour être réduite en purée !
  • La réduire en purée (avouez que vous ne vous y attendiez pas) et laisser refroidir 15 minutes.
  • Mélanger ensemble la purée, la moitié de la chapelure, le fromage, le poireau, et assaisonner à votre convenance. Utiliser les 2 jaunes d’œufs pour lier la préparation.
  • Façonner 12 petites saucisses. Couvrir et mettre au frigo pendant 1 heure.
  • Préparer 3 plats, un avec la farine (saler et poivrer légèrement), le deuxième avec l’œuf (fouetté) et le troisième avec la chapelure. Passer la saucisses dans la farine, tremper dans l’œuf et terminer dans la chapelure. Répéter pour chacune des saucisses.
  • Chauffer 5mm (0,2 po) d'huile à frire dans une grande poêle et frire une demi-douzaine de saucisses à la fois, en les tournant, pendant 10 minutes ou jusqu'à ce qu'elles aient bruni. (ou sinon, trichez, et faites-les frire à la friteuse)
  • Poser sur des essuie-touts afin d'absorber l'excédent de gras et garder au chaud durant que vous faites cuire les 6 autres saucisses.
  • Mangez ces petites croquettes avec d'la salade/viande/légumes, ou mangez-les sans rien d'autre, ça reste excellent ♪

Voila voilà ! En espérant que ce petit essai culinaire vous plaira ♪

A la prochaine, pour de nouvelles aventures !

Le Feu-Follet, éternel affamé

Les Fables du Sang

Chapitre 2

Matin, 8h00. Un assourdissant « bip bip bip » résonna dans toute la chambre. Qui ne dura pas longtemps, écrasé par le violent coup de poing qui le fit taire une bonne fois pour toute. Le soleil daignait à peine montrer le bout de son nez, laissant une couleur orangé au ciel matinal. Léo se redressa du lit, fatigué, et lâcha un bâillement étouffé. Il tourna son regard vers la déesse endormie à sa droite et comme par magie, sa fatigue s'envola. Un sourire s'étira sur son visage. Endormie, elle avait l'air si innocente qu'elle n'en était que plus belle. Il détailla ses longs cils noirs recouvrant ses paupières fermées, ses longs ongles qui dépassaient de ses doigts fins.

Magnifique.

Il se ramassa près d'elle et repoussa une mèche qui barrait son visage pour y déposer un baiser sur le front. C'est alors que les bras d'Eliana s'enroulèrent gracieusement autour du cou de Léo et ses lèvres trouvèrent celles de son bien-aimé avant d'y déposer un baisé passionné. Lorsque leurs lèvres se quittèrent, elle lui sourit sans dire un seul mot et planta son regard dans les yeux de Léo, les bras toujours autour de son cou.

Ils ne s'échangèrent pas un seul mot, et pourtant, ils s'étaient parfaitement compris. Elle était déjà réveillée, il le savait, elle l'avait laissée faire, il l'avait fait exprès. Ils s'échangèrent un nouveau baiser fougueux. Elle se leva alors du lit, lui jeta un dernier regard et sortit de la chambre. Léo en profita pour se lever à son tour. Il ouvrit le placard et y sortit un T-shirt noir et un jean bleu sombre qu'il enfila. Puis il attrapa un collier en cuir noir qu'il passa autour du cou. Ce collier attirait le regard des passants, mais s'il ne le portait pas, ce seraient les marques de morsures qui attireraient le regard. Il n'aimait pas particulièrement en porter un, mais il préférait garder ces marques cachées. Il enfila une paire de chaussettes avant de filer dans la salle de bain. Il ouvrit la porte et y vit Eliana, allongée nue dans la baignoire remplie d'eau. A sa vue, elle lui offrit un large sourire qu'il lui renvoya. Il se mit devant le lavabo, à l'opposée de la baignoire et s'y brossa les dents. Il remarqua alors le regard insistant d'Eliana sur le collier à travers le reflet du miroir.

- Tu le préférerais rose, peut-être ? disait-il avec humour.

Elle ne répondit pas, la mine inquiète. Léo savait à quoi elle pensait, pas besoin d'être devin pour le deviner. Il soupira et fixa le reflet de sa conjointe.

- Ne te sens pas coupable, je n'ai rien contre le fait que tu boives mon sang.
- Mais... et les autres ?
- Les autres pourraient bien être des macaques à poil jaune fluo dansant la salsa que je m'en moquerais tout aussi bien.

La boutade eu enfin l'effet escompté, elle se mit à rire, enlevée d'un poids. Pendant qu'il se lavait le visage, elle le contempla de la tête aux pieds. Il était grand, très grand, dans le mètre quatre-vingt dix environ. Il avait les cheveux roux flamboyants ébouriffés un peu dans tout les sens, lui donnant un aspect un peu négligé. A travers le reflet du miroir, elle admira ses magnifiques yeux à mi-chemin entre le vert et le bleu. Une sorte de bleu-vert, brillants et étincelants comme de l'émeraude qui surplombaient son visage aux traits fins et pourtant durs. Elle admirait sa subtile musculature, car malgré la maigreur de ses bras, il semblait pouvoir soulever des montagnes avec ses bras menus. Il dégageait une incroyable aura de puissance, mais également de tranquillité. Comme un prédateur endormi, tel un lion ou un léopard plongé dans le sommeil.

Il attrapa une serviette suspendue à une barre de fer et l'envoya vers Eliana qui l'attrapa sans aucune difficulté, tendant le bras pour éviter qu'elle ne trempe dans la baignoire pleine d'eau. La situation lui tira un sourire : Il avait anticipé qu'elle allait sortir de la baignoire.

- Merci !

Il lui fit un clin d’œil et sortit de la pièce. Elle s'essuya avec la serviette que lui avait passé Léo, se maquilla et elle enfila une longue robe noire, un bustier volant en tulle sur quatre étages faite en coton lui tombant jusqu'en bas des genoux. Elle tourna sur elle-même, s'offrit un sourire satisfait et descendit rejoindre Léo.

Ils mangèrent leur petit-déjeuner tous les deux et lorsqu'ils eurent terminé, ils enfilèrent Converses et talons aiguilles respectivement et sortirent de la maison. L'air du petit matin était frais, le ciel montrait un bleu pâle et une légère couche de brume surplombait les alentours. Ils se regardèrent dans les yeux et s'embrassèrent passionnément. Elle passa tendrement sa main sur la joue de Léo, lui offrant un sourire compatissant avant de s'élancer dans la brume et disparaître en une poignée de secondes.

Cela avait beau faire environ un an que c'était le même refrain, Léo ressentait toujours un pincement au cœur lors de cette séparation. Pour deux raisons : Il savait qu'elle était déjà loin, et cette distance qui les séparaient le rendait mélancolique. Il enfourcha sa Shadow noire, une grande moto qui ressemblait vaguement aux célèbres Harley Davidson dont il était très fier. Il mit les clés sur le contact et fit ronfler le moteur. Le pincement au cœur se resserra d'avantage.

Elle ignorait que Léo était son pire ennemi.

~ Erhil M.

Coucours & Event

Résultats

On ne l'a pas oublié ! Il est donc grand temps de dévoiler les œuvres qui nous ont été envoyés pour le précédent concours. On va rapidement rappeler le thème : A présents, les participants doivent écrire un petit texte, peu importe la forme et le style, mais ils doivent utiliser les mots suivants : Chartier, sirène, lune, citrouille, saule et château. Tous les participants seront récompensés, mais les trois premiers recevront un gros lot de points ! Et soyez-prêts pour la prochaine édition, chers lecteurs ! Rien n'est ce qu'il semble être.

Voici sans tarder la première proposition. Et oui, je vais garder secret le nom, sinon, ce serait moins drôle.

Oh, toi ! Si belle, si ronde ! Ta rousseur s'estompe sous la lune, te rendant plus magnifique encore ! Tu chavires mon cœur de poète ! Même une sirène, ce soir, ne pourrait m'attirer plus ! Je regarde ce chartier qui passe, te lançant un petit regard, sans même penser à t'insulter... Que pourrait-il te dire à toi, qui est la perfection même ? Je te regarde, dans ce jardin, alors que moi, pauvre âme esseulée, je suis là, à te regarder, enfermée dans le dortoir de ce château où je ne peux rôder la nuit ! Dieu que j'aimerai m'asseoir avec toi sous un saule, et te déguster, lentement ! Mon ventre gargouille... Regarde l'effet que tu as sur moi, foutue citrouille ! J'ai la dalle, et je n'ai qu'une envie, te manger !

Après cette première proposition poétique, passons à la suite. Son auteur l'a nommé Le Temps des Citrouilles

Ce soir est un soir très spécial pour moi. Pourquoi ? Vous verrez.

La nuit commence à tomber, le château se vide. Le noir reprend sa place et l'astre de la nuit se couronne roi.

Je déambule sous le saule protecteur et marche, je dois rejoindre les autres, mes pas font craquer les feuilles sèches, l'automne est tombé. La vie quitte les arbres et tout autour de moi s'habillent d'orange et de rouge, c'est le temps des citrouilles qui arrive.

J'entends des cris au loin … Que se passe-t-il ? Suis-je en retard? Je suppose que non. Continuons, marchons.

Je jette un œil à gauche, à droite et là, j'avise un jeune garçon qui me regarde, hébété. Puis il s'enfuit … Oui, il fait tellement noir que pour lui, je ne suis qu'une ombre dans la nuit... Le pauvre.

Je continue mon chemin.

Là, devant moi, le lac du château s'étend. Grande étendue noire. Peut-être qu'on aurai pu la qualifier de calme si la surface n'était pas troublée par les nages des Selkies et autres créatures aquatiques. Les moldus les décrivent comme des « sirènes », un corps de poisson et un buste d'humain... Ou peut-être est ce l'inverse ? Qu'en sais-je ? Je regarde mon reflet s'étaler dans l'eau. Mes yeux y brillent... C'est une sensation étrange, mais pas désagréable. D'un coup, je brouille la surface froide du lac, ce miroir improvisé s'estompe. J'entends encore d'autres cris. Ma promenade continue.

J'aimerais m'éloigner du château, j'aimerais beaucoup mais je n'ai pas le droit. Surtout pas ce soir. Alors je m'enfonce dans la forêt, cette belle forêt, cette effrayante forêt. Je marche droit devant moi, sans faire attention à ce qu'il se passe sous mes pas. L’inévitable arriva, j'ai marché sur un Chartier... Ah quelle poisse. Je lui fais un signe de tête pour lui demander pardon, le voilà qui m'insulte de tous les noms... Ma conscience est tranquille, je me suis excusé auprès de lui, que veut il de plus ?

Je dois me dépêcher, l'heure est proche, les autres doivent déjà m'attendre.

J’accélère un petit peu. Ah ! Les voilà, ils sont là, ils n'attendaient plus que moi. Je m'avance vers eux, ils s'écartent sur mon chemin et me font une place au milieu du groupe, je salue tout le monde, ce sont mes amis.

Je lève la tête et sans crier garde, je hurle !

-Aouuuuuh.

Voilà mes amis, mes frères ! Voilà ! Que cette merveilleuse nuit d'Halloween commence ! Profitez en ! Car c'est ce soir et ce soir seulement que nous pouvons Hurler à la Lune et Saluer la Grande Faucheuse !

Mes frères me répondirent par d'autres hurlements.

Je laisse mon museau au vent et profite de cette douce brise. Oui, ce soir était spécial, c'était moi, cette année qui inaugurait la Nuit d'Halloween. Alors que chaque être vivant en profite !

Passons donc à la dernière proposition que l'on nous a envoyé. Une deuxième petite nouvelle, nommée Le Jardinier.

- Très bien. Tentons de nous rappeler des événements tels qu’ils ont eu lieu.

L’homme ferma les yeux un bref instant, ses sourcils broussailleux se rejoignant en un froncement concentré alors qu’il laissait s’échapper un long soupir fatigué. Il hocha la tête presque imperceptiblement. En face de lui, un autre homme d’une quarantaine d’années affichait un visage qui se voulait ouvert. Sa main lui fit signe de commencer son récit.

- Il y avait… c’était…

Il appela son interlocuteur à l’aide du regard. Comment raconter ? Par où commencer ? Sous une moustache fine et élégante, les lèvres de celui qui se tenait en face de lui s’étirèrent en un sourire compréhensif. Il joignit ses mains en posant ses coudes sur la table qui les séparait.

- Reprenons depuis le début, vous le voulez bien ? Commençons par des choses simples. Votre nom. Ce que vous faîtes.

Sous ses épais sourcils, il cligna des yeux à plusieurs reprises. Reprendre depuis le début. Le début. Il se redressa en serra toujours son vieux chapeau troué dans ses mains abîmées par des années et des années de rude travail.

- Chartier. Jean Chartier. Mais on m’appelle plutôt monsieur Jean. Je… travaille dans les jardins du château.

- Qui n’ont jamais été plus beaux, je ne peux m’empêcher de le dire.

Le visage de Jean s’éclaira de fierté.

- Merci beaucoup. Pour sûr ce n’est pas un travail facile, mais de le voir comme ça… c’est ma responsabilité. C’est moi qui dirige tout le petit monde qui y travaille. Ce jardin… C’est un peu mon bébé vous voyez ?

- Bien sûr, bien sûr. Et vous travailliez encore hier soir ?

Jean déglutit et se recroquevilla un peu.

- Je vérifiais que rien ne s’abîmait pendant la soirée. On trouve parfois de drôle de bourges pendant des soirées pareilles. Y’en a même qui se cachent dans les buissons pour faire des choses… Tenez, j’en ai trouvés près du lac. Ils pensaient être cachés par les branches du grand saule pleureur, une de mes fiertés personnelles, mais je ne les ai pas loupés, et je n’vous raconte même pas dans quelle positi…

- Oui, oui, merci beaucoup. Mais ce n’est pas la seule chose que vous ayez trouvée n’est-ce pas ?

Jean se passa une main sur son crâne chauve. Comme pour se rassurer.

- Il faisait bigrement noir. C’était à la bordure extérieure des jardins. Il n’y a quasiment pas de lumière là-bas. Seulement un petit chemin. Et puis la lune n’était pas pleine, c’est difficile d’être sûr de ce que l’on voit dans ces conditions. Mais je suis sûr que… J’ai vu un carrosse. Il était… c’est comme je l’ai dit à vos collègues. Je n’en avais jamais vu de tel et pourtant j’en ai vu passer de ces machins à roues ! Il s’est arrêté brusquement. C’est le bruit qui m’a fait m’arrêter. J’ai cru qu’il y avait eu accident vous voyez ? Mais je n’ai pas eu le temps de m’avancer que…

Il s’interrompit. L’autre homme se pinça l’arête du nez en tentant de contrôler son impatience. Ce n’était pas la première interruption et leur enquête était des plus urgentes. Depuis la veille, les recherches n’avaient cessé. L’alerte avait été sonnée, les sirènes avaient retenti et toute la garde se mobilisait pour la retrouver. Ils devaient savoir. Le capitaine souffla pour se contenir et prit une position droite et rigide.

- Monsieur Jean. Comprenez bien que cette affaire est sérieuse. Le carrosse que vous avez vu répond aux descriptions qui nous ont été faites à son arrivée. Vous êtes le dernier à l’avoir vu et par là même, le plus apte à nous permettre de retrouver la disparue. Dîtes-moi maintenant : avez-vous vu une jeune fille aux abords du parc ?

Le jardinier releva la tête, le regard empli d’effroi. Le capitaine de la garde se retenait presque de respirer.

- J’ai vu… Le carrosse…

- Oui, le carrosse, oui. Avec la fille dedans ?

- Le carrosse…

- La fille !

- A explosé ! Il n’y avait plus qu’une citrouille et des rats ! Une sorcière, une fée du diable ! Une citrouille et des rats !

Le regard vide, le capitaine ne pouvait qu’observer d’un air distant le jardinier dans un état proche de l’hystérie. Il ferma les yeux. Les rouvrit. Quelle perte de temps. Il se leva lentement et sortit de la pièce. Il n’avait rien. Il n’avait plus qu’à fouiller toute la ville avec pour seul indice une chaussure. Les lubies du prince le tueraient probablement. Alors que la porte se fermait, un dernier écho parvint à ses oreilles : « une citrouille et des rats ».

Voilà donc les trois écrits qui vous sont proposés. Nous espérons vraiment qu'il vous ont plu, et dès maintenant, vous pouvez voter grâce au sondage pour votre création préparée. Le premier remportera 100 points, le deuxième 70 et le troisième 40. Et on vous dira enfin qui a écrit quoi. Oui, je suis une saleté ~

Les Astuces du Professeur Foldingue

Héhé ! Nouvelle rubrique pour moi, les enfants, hahaha ! Je me présente, je suis le professeur Foldingue, pour vous serviiiiiiir ! Non non non, je ne suis pas fou, pas fou, pas fou... Aaaaaaah mes cacheeets !!!!.... Ah voilà, c'est mieux ! Bien bien bien, héhéhé ! Si je me suis présenté pour une chronique, c'est pour vous donner quelques astuces quotidienne, pauvres ignares que vous êtes, mouhahaha ! Oui, ça peut vous aider, ou pas ! C'est vous qui voyez... Ayez confiiiiiiiance !

Bien bien ! Aujourd'hui, mes petits zoziooooooo, je vais vous donner quelques astuces pour soigner une brûlure, oui une brûlure... Ooooh ouiii, ça fait mal, très maaaaal quand on se brûle, n'est-ce pas ? Alors voici deux petites astuces que j'ai découvert en me brûlant volontairement le pouce ! La première.... Appliquez sur la brûlure du dentifrice au fluor ! Le fluor absorbera la blessure et elle cicatrisera plus rapidement.... Mais la meilleure solution reste le miel ! Appliquez le miel dans les 5 minutes après la brûlure. En trois-quatre minutes, la douleur s'estompe et il ne reste pas de cicatrices, ou presque ! Quoiiiiii, vous n'y croyez pas ?! Essayez, et vous saurez !!!!

C'était le docteur foldingue en direct du laboratoire 51.... Mouhahaha !

Petites Annonces

C'est déjà la fin de cette partie du Daily Hogwarts ! Rassurez vous, le meilleur est encore à venir. Mais avant de vous ruer dessus, laissez moi vous laisser ces quelques mots. Vous pouvez tous, et je vous y invite fortement, participer au Daily Hogwarts. Il vous suffit de m'envoyer quelque chose. Que ce soit en votre nom, pour la partie HRP, ou au nom d'un de vos personnages pour la partie RP, il suffit de me le dire. Nouvelles, astuces, ou articles sur l'univers, on accepte tout !

Nous vous rappelons rapidement que les clubs sont désormais ouverts ! En conséquence, allez vite répondre au rp d'ouverture de votre(vos) club(s) respectif(s) ~ Un club est aussi en rp ouvert, puisqu'il a été proposé très tardivement, c'est le club de théâtre dans la salle d'Arts et Musiques Magiques.

Quoi qu'il en soit, nous vous invitons aussi à laisser vos avis sur cette nouvelle version du Daily Hogwarts. Tout avis est bon à prendre, même les négatifs, donc, n'hésitez vraiment pas. Ils nous permettront de nous améliorer. Je tiens quand même à remercier tout ceux qui ont travaillé sur le Daily, que ce soit en envoyant quelque chose, en rédigeant un article, ou simplement en corrigeant, parce que oui, fallait bien corriger.

~ Maku