~ Informations de base ~ ♦ Nom(s) : Crow-Alheisburg van Heaumfül de Vercomtois ♦ Prénom(s) : Alceste Louis-Philippe Aristophane ♦ Âge : 16 ♦ Surnom(s) : Le garçon aux chips ♦ Sexe : Masculin ♦ Pays d'origine : Angleterre, France, Autriche ♦ Statut : Eleve ♦ Classe : 6e année ♦ Familier : Wilburg, chouette cendrée ♦ Baguette : Ventricule de dragon ♦ Orientation sexuelle : Hétérosexuel ♦ Particularités : Conserve toujours un paquet de chips sur lui ♦ Personnage sur l'avatar : Ichimaru Gin, Bleach ~ Descriptions ~ ♦ Physique : Les cheveux grisonnants, voire blancs, il se plait à dire que c’est parce qu’il « réfléchit beaucoup », qu’il a un esprit « supérieur » et, de facto, « plus âgé ». Ses petits yeux accompagnent un rictus, plus qu’un sourire, quand il se retrouve confronté tant à des situations où il a l’avantage que le désavantage – Alceste prise autant la difficulté que la supériorité intellectuelle dont il fait manifestement preuve. Son visage est anguleux, ses pommettes saillantes, son nez aquilin et ses pupilles noires ; son regard souvent impénétrable, parfois flamboyant ; des oreilles agréablement proportionnées complètent le portrait d’un garçon qui, physiquement, ne trouve rien à redire à ce qu’il est, contrairement à bien des jeunes de son âge. Du reste, les muscles à peine saillants d’Alceste révèlent sa grande fragilité ; soumis à des complications de santé, il est mince, souvent blafard, et une violence tendance à perdre du poids l’affaiblit considérablement, et ce de manière régulière. Peu attaché aux codes vestimentaires, il se contente d’un simple tshirt et d’un pantalon parfois trop large ; des baskets usées ou des mocassins, selon son envie, supplantent de grandes chaussettes aux motifs pyramidaux, rectangulaires ou ovales. Il lui arrive de porter des gants, le plus souvent noirs, pour le simple plaisir « de ne pas se salir les mains auprès des autres, des porcs, des sales, des animaux, des vauriens – des sans-contacts, plein de microbes et d’ignominies du genre, amplement infréquentables ; de la vermine qui n’a rien à faire avec [lui] ». Loin d’avoir des épaules larges, sa corpulence est donc tout à fait dans la moyenne, et même un peu plus mince ; cinquante-cinq kilos pour un mètre soixante-douze, un cerveau et un physique qui n’inspire pas vraiment confiance. ♦ Psychologique : Opportuniste et volontiers cruel, Alceste se complait dans le spectacle de la souffrance. Cynique, il ne juge que ses intérêts bons et propres à être servis. Alceste est un manipulateur aguerri mais a le défaut d'aller à la confrontation rapidement, la plupart du temps de manière verbale, la force physique étant son point faible majeur. Suprématiste sorcier, il n'a aucune estime pour les Moldus, qui devraient être "remis à leur place, dès que possible". Terriblement égoïste, il n'a, de sa vie, eut que deux amis : Walter, ayant tragiquement trouvé la mort deux ans plus tôt et Valden, un blondinet d'un mètre soixante, qui lui sert plus d'esclave que de confident. Il exerce une véritable fascination auprès des personnes qu'il côtoie, y compris son propre père qui voit en lui un homme destiné à de grandes choses. Sa mère, totalement soumise au bon vouloir de son père et ayant, elle-même, une certaine sympathie pour les Moldus, a longtemps été dédaignée par son propre fils. C'est cependant avec une pointe d'empathie qu'il a commencé à reprendre contact avec elle après qu'elle le vanta, un soir, devant son père, de ses nombreuses qualités, qui font de lui "un garçon d'exception". Personne, dans l’entourage d’Alceste, ne semble vouloir remettre en cause son autorité : même ses précepteurs, des années durant, ont supporté la suffisance du garçon sans broncher. Walter aimait à croire à la bonté insoupçonnée d’Alceste : la main tendue qu’il attendait alors sur les rails du train, à plat ventre, le visage en sang après une chute malencontreuse, et qui ne vint pas, devant un Alceste figé, lui révéla toute l’erreur de son raisonnement… ou l’odieuse vie qui ne lui réservait pas le droit de voir un soupçon d’humanité en son ami. ~ Votre histoire ~ Intensément attaché à l’histoire de sa famille, Alceste Louis-Philippe Aristophane Crow-Alheisburg van Heaumfül de Vercomtois est le descendant d’une très ancienne famille de sorciers, seigneurs et nobles français, autrichiens et anglais. Son père est Louis-Philippe Alheisburg van Heaumfül de Vercamtois, un riche actionnaire dans une société immobilière. Il se maria, contre l’avis de ses propres parents, à Jane Crow, top-model tombée en désuétude après la fermeture de son agence de mannequinat. Jugeant indigne de leur présence leur fils, les grands-parents paternels d’Alceste ont refusé d’accorder leur bénédiction au mariage et ont, selon les dires, rayé de leur héritage son nom, même si M. Crow, qui a pris le nom de sa femme pour contrer leur avis, « n’y croit pas tellement ». Dès l’âge de huit ans, Alceste se passionne pour de vieux ouvrages sur la famille Alheisburg van Haumfül de Vercomtois ; né à Vienne, son cinquième arrière grand-père, Lewan Alheisburg van Heaumfül épousa une riche héritère française, Epoline de Vercomtois : de cette union naquirent sept enfants, dont deux moururent en bas-âge. Les cinq autres feront prospérer le patrimoine pécuniaire familial. En cinquante ans, les nombreuses entreprises financières des frères Alheisburg van Heaumfül de Vercomtois rapportèrent l’équivalent de 500 millions de livres sterlings actuelles. L’arrière-arrière-arrière grand-père d’Alceste fut même député et, brièvement, ministre de l’Industrie en France, sous le règne de Napoléon, et obtint plusieurs distinctions pour ses services rendus à l’armée. Fort d’une riche histoire familiale, Alceste ne doute plus alors de sa propre capacité à être à la hauteur des superbes réalisations de ses ancêtres ; singulièrement frappé par les littératures françaises et germaniques, il découvre Kraus, Bernhard ou Stendhal à l’âge de quatorze ans dans sa Salle commune. Ces littératures et ces héros romantiques, tantôt cruels, tantôt bons, le frappèrent alors et ne le quittèrent plus. Vivant dans un manoir près de la ville anglaise de Southampton, il est envoyé par son père à la prestigieuse institution de Poudlard dès que ses pouvoirs magiques se confirment. C’est alors à Poudlard, à l'âge de onze ans, que lui vint l’idée de retrouver le nom de ses aïeuls, raccourci en de Vercomtois, pour sa propre satisfaction personnelle, las d’avoir à se trimballer ce « nom d'une misérable ascendance sans pouvoirs magiques »… ~ Le Moi réel (Facultatif) ~ ♦ Pseudo : ♦ Prénom : Sébastien ♦ Âge :19 ♦ Comment avez vous connu le forum ? : Par une recherche sur Google. ♦ Aimez vous le design? Si non, pourquoi : ♦ Code du règlement :